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Societe - Page 33

  • Championne olympique puis escort girl

    Championne olympique puis escort girl, Suzy se repend

    Suzy est une athlète américaine de haut niveau. Elle fut sept fois championne nationale de demi-fond (les courses de demi-fond sont les distances de 800m et 1’500m aux Jeux olympiques). Elle a participé à trois olympiades. A Sydney en 2000, elle faisait course en tête au 1’500m, avant de s’écrouler à 200 mètres de l’arrivée. Terrible déception pour une athlète de ce niveau.

    Aujourd’hui âgée de 44 ans, elle vient de dévoiler la double vie qu’elle menait depuis un an. Elle a pratiqué le métier d’escort girl, soit prostituée, sous le pseudonyme de Kelly Lundy. Femme très belle de visage et de corps elle demandait 600$ de l’heure ou 6’000$ pour la nuit. Un client a eu l’indélicatesse de la dénoncer auprès d’un média à scandale. Etant dénoncée contre son gré elle a assumé publiquement.

    Les aveux de Suzy Favor Hamilton sont courageux. La prostitution reste injustement dans la part sombre de l’humanité. Mais, comme disait un homme il y a 2’000 ans, que celui qui est sans tache lui jette la première pierre. Il n’y a pas à juger Suzy, pas plus qu’une autre prostituée. Elle mène sa vie comme elle l’entend.

    « Je suis entrée dans ce métier en grande partie parce qu'il me procurait les moyens de traverser une période difficile de mon mariage et de ma vie. Il me fournissait une porte de sortie à la vie qui m'étouffait. C'était une double vie. Mais il avait du sens pour moi à l'époque où je frôlais la dépression.

    J'ai réalisé que j'avais pris des décisions hautement irrationnelles et j'en suis pleinement responsable. Je ne suis pas une victime et sais ce que je faisais. »


    Quelques réflexions sur ses déclarations. D’abord cette mode déplaisante d’avoir à se repentir publiquement. Je comprends le désir de Madame Hamilton de couper court aux rumeurs. Mais la repentance publique est un joug. Les confessions devraient se passer dans le silence du coeur. Conférer au public une telle autorité sur soi est une forme de soumission.

    La question n’est pas d’assumer publiquement, mais de s’en excuser et de s’en être caché en sachant ce que cela pouvait susciter dans le public. A titre de comparaison, Clara Morgane par exemple assume d’avoir fait des films classés X et ne s’en excuse pas. Et personne ne lui jette la pierre.

    Suzy elle estime aujourd’hui avoir fait une erreur. Elle dit qu’elle n’est pas victime. C’est à son honneur. Le culte moderne de la victime est détestable. Mais par quel parcours intellectuel en est-elle venue à la prostitution ? Comment a-t-elle considéré que le fait de louer ses charmes était une porte de sortie à une vie qui l’étouffait ? Nous n’en saurons pas plus mais ce fait divers est significatif d’autre chose.

    La célébrité est traîtresse, en particulier dans le sport où les carrières sont majoritairement courtes. Les vedettes sont adulées un jour et oubliées le lendemain. Après avoir senti des millions de regards sur elle, après que les médias aient fait d’elle une icône, elle se retrouve seule. Pas entièrement seule : son mari est là, qui la décourage à suzy-favor6.jpgentrer dans la prostitution. Mais son regard ne suffit peut-être pas. Peut-être a-t-elle encore besoin d’autres yeux sur elle, besoin d’être encore admirée, désirée par des inconnus comme dans le passé. Passer du haut de l’affiche à rien ne doit pas être simple à gérer.

    La célébrité est un étrange rapport au monde. Une personne capte sur elle l’attention de milliers d'autres personnes qui vibrent pour elle. Fait-elle un sourire à la télévision ou un geste sur le stade ? Ces milliers d’âmes pensent qu’elle s’adresse à elles personnellement. Toutefois l’affection de la star est virtuelle, et celle du public est versatile. La star ne donne d’elle que dans l’effort, dans le but de gagner. Ses fans fantasment, pensent être récompensés : ils ne sont que vampirisés. Le star système est un détournement affectif. Plus la star attire de regards plus elle gagnera d’argent. La relation entre une vedette et ses fans est une relation sans innocence, pervertie par le gain attendu. Cette relation est si courante, si installée dans la société, qu’on ne la perçoit plus comme détournée.

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    Il y a 1 mois

    Vous adorez les pixels ? Vos mains ont été sculptées, au fil des années, par les manettes de jeu (...)

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    Y a-t-il un parallèle entre la star qui ne donne d’elle qu’en surface, et la prostituée qui elle non plus ne s’investit pas affectivement mais gagne de l’argent grâce au fantasme qu’elle inspire ? La prostitution était-elle, pour Suzy Favor Hamilton, une manière de renouer avec sa gloire passée et avec ce type de relation d’admiration ?

    Tout n’est pas dit dans les aveux de la championne. Peut-être avait-elle aussi envie d’argent facile. Ou de se sentir désirée par de nombreux hommes et de vivre des choses que le couple classique n'admet que difficilement. Son fantasme pourrait être celui de la femelle entourée de mâles chauds, ce qui plaît à certaines femmes qui le vivraient plus souvent, n’était leur image sociale et leurs responsabilités familiales. Il n’y a pas que les hommes pour aimer les cours d’admirateurs. Et si c’était le cas de Suzy, c’est encore son affaire et sa liberté. Dans la mesure bien sûr où elle ne blesse pas délibérément ses proches, en premier lieu son mari.

     


    Suzy Favor Hamilton ajoute :

    « J'ai pleinement l'intention de me racheter afin de redevenir une bonne mère, épouse, sœur et amie. »

    Veut-elle signifier qu’elle a pratiqué la prostitution comme une arme contre elle-même ou contre la société ? Comme un rejet de la bonne mère, de la bonne épouse, de l’image parfaite qu’elle pensait devoir donner ? Ce serait une démarche intéressante. Mais pourquoi vouloir se racheter ? Peut-être n’assume-t-elle pas vraiment et veut-elle simplement garder l’affection du public en lui faisant soumission : « Je vais redevenir comme vous, une bonne mère et une bonne épouse, vous pourrez m’aimer à nouveau ». Le repentir n’est-il pas une forme dérivée du narcissisme ? Et est-il opportun de donner au public le rôle de juge et, dorénavant, de surveillant de ses actes et de son comportement ?

    Une partie de l’explication réside peut-être dans ces propos :

    « Suzy Favor Hamilton se décrit comme une perfectionniste qui a, durant toute sa carrière, lutté contre des voix qui lui répétaient qu’elle n’était pas assez bonne, qu’elle ne courrait pas assez vite et qu’elle devait faire mieux.

    Toute votre vie, on vous dit combien vous êtes exceptionnelle, que ce soit vos entraîneurs, vos amis ou vos parentsl. Je me devais d’être parfaite. Ce n’était la faute de personne. Je ne reproche rien à personne. C’est juste la société qui est ainsi faite. »


    Elle a été encouragée, valorisée, soutenue par son entourage. Qui ne désirerait une telle attention ? Mais une voix en elle disait qu’elle n’était pas assez bonne. Le système n’est pas en cause puisqu’il l’a soutenue. C’est sa propre histoire qu’elle a illustrée dans la prostitution. C’est peut-être la même histoire qu’elle fait durer en voulant redevenir la bonne mère et épouse.

    Elle place à nouveau la barre très haut. Reste à savoir comment elle gérera dorénavant sa dualité. Ça, c’est son histoire. La question suivante est : comment nous-mêmes gérons-nous nos contradictions et nos soumissions ?
     

  • Utérus à louer, la pire des prostitution ?

     

    Lorsque Monsieur Bergé affirme, après une manifestation en faveur du mariage homosexuel en décembre à Paris : « louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? », il fait preuve d’une grande naïveté scientifique. Autant louer ses bras pour actionner une machine, ou son vagin pour des plaisirs sexuels, ne crée pas de lien biologique durable entre les différents partenaires, autant la location d’un utérus fait intervenir d’autres facteurs. De la puberté jusqu’à la ménopause (en l’absence de contraception médicamenteuse) l’utérus se prépare périodiquement à accueillir un œuf fécondé, et si tel est le cas, il ne se contente pas d’être un nid douillet au sein duquel l’œuf serait couvé comme chez les ovipares, mais il développe un ensemble d’interactions extrêmement complexes entre l’œuf et la mère (génétique ou non), pour en assurer la gestation. Le développement du placenta au cœur même de l’endomètre provoque chez la mère de très nombreuses réactions hormonales et immunologiques visant entre autres, à ne pas expulser cet œuf forcément différent d’elle-même, car contenant des chromosomes étrangers. Le fœtus dispose pour cela d’un système immunologique qui empêche les cellules maternelles et le considérer comme un corps étranger et donc de le détruire, mais ce n’est là qu’un des aspects de cette relation mère-embryon extrêmement complexe, sur le plan immunologique, biochimique, et hormonal qui évoluera pendant neuf mois, tout au long du développement du fœtus, lui forgeant ainsi une mémoire biologique dont il ne saurait se séparer même après la section du cordon ombilical. Au niveau maternel, l’embryon impose aussi sa trace, et toutes les études récentes prouvent l’importance de ces liens intimes, que la mère soit génétique ou non, pendant la grossesse qui perdurent même après l’accouchement, chez la mère comme chez le nouveau né. Ainsi assimiler la location d’un utérus à celle d’un bras, c’est sur le plan scientifique faire référence à des notions erronées, dont ne peuvent se contenter que ceux qui veulent exaucer leurs caprices en niant à leur profit des réalités maintenant bien établies. Sur le plan éthique, qu’il s’agisse de morale religieuse ou dite républicaine, le fait de louer son corps pour des pratiques sexuelles, s’appelle de la prostitution. On peut être pour, contre, ou indifférent, peu importe, il ne s’agit là que d’une location temporaire, et comme pourrait le dire Monsieur Bergé (cette fois-ci à juste titre) louer son vagin ou ses bras : quelle différence ?

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    Cependant la location d’un utérus ne se situe pas au même niveau, il ne s’agit pas du simple usage d’une cavité physiologique moyennant finances, mais d’une relation dont les aboutissants sont beaucoup plus complexes et qui ont des répercussions sur la vie des intervenants.

    Admettre la location d’un utérus à des fins gestationnelles, c’est admettre la pire forme de prostitution.

    Dr. J-M Lacroix

  • Une nouvelle victoire de Siné contre l’éditocratie

    Une nouvelle victoire de Siné contre l’éditocratie

    par Mathias Reymondle 24 décembre 2012

    Charlie Hebdo a été condamné une nouvelle fois par la justice à verser des dommages et intérêts au dessinateur Siné pour rupture abusive du contrat qui le liait au journal. Si nous nous réjouissons de cette victoire pour la liberté d’expression nous n’oublions pas aussi d’apporter notre soutien à Siné.

    Rappel des faits : en juillet 2008, Charlie Hebdo publie une chronique de Siné dans laquelle celui-ci dénonce le prétendu opportunisme religieux de Jean Sarkozy. Extrait : « il vient de déclarer vouloir se convertir au judaïsme avant d’épouser sa fiancée, juive, et héritière des fondateurs de Darty. Il fera du chemin dans la vie, ce petit ! » S’en suit une véritable fronde contre le caricaturiste qui mène à son licenciement de Charlie Hebdo pour cause « d’antisémitisme ».

    Une grande partie des patrons de presse, des éditocrates et des philosophes de télévision ont alors soutenu Philippe Val – directeur de l’hebdomadaire – dans sa purge anti-Siné. Ainsi, Bernard-Henri Lévy, Alexandre Adler, Claude Askolovitch, Pascal Bruckner, Robert et Élisabeth Badinter, Laurent Joffrin... mais aussi Dominique Voynet ou Bertrand Delanoë n’hésitent pas à prendre leur plume pour attaquer Siné. La plupart de la rédaction de Charlie Hebdo se range même derrière Val dans cette affaire [1]. Pourtant, pour qui connaît un peu Siné et son œuvre, l’accusation d’antisémitisme est dénuée de fondement et même complètement farfelue. Ainsi que nous le rappelions en 2008 dans un article de soutien à Siné [2], ce licenciement est donc une véritable atteinte à la liberté d’expression.

    Depuis, que s’est-il passé ? Philippe Val quitte Charlie Hebdo en 2009 pour prendre la direction de France Inter et renvoyer quelques chroniqueurs encombrants [3]. Il laisse la gestion de l’épave satirique à Charb qui n’a pas brillé par son courage dans cette affaire comme nous l’écrivions dans notre article sur l’histoire de Charlie Hebdo. En effet, au moment du licenciement de Siné, Charb était rédacteur en chef adjoint et avait pris parti... contre le chroniqueur, dans un éditorial amphigourique dans lequel il expliquait que Siné avait porté « atteinte » aux « valeurs essentielles » de Charlie Hebdo (rires).

    Siné de son côté, soutenu par des milliers de personnes, a remonté la pente et lancé un hebdomadaire (Siné Hebdo) en septembre 2008 qui s’est muté en mensuel trois ans plus tard (Siné Mensuel). Mais surtout Siné a gagné. À deux reprises. Une première fois [4], le 30 novembre 2010, quand le tribunal de grande instance (TGI) a rendu un jugement dépourvu de toute ambiguïté : « Il ne peut être prétendu que les termes de la chronique de Maurice Sinet sont antisémites, (…) ni que celui-ci a commis une faute en les écrivant (…). [De plus,] Il ne pouvait être demandé à Siné de signer et faire paraître une lettre d’excuse »Charlie Hebdo (plus précisément la société Les Éditions Rotatives) a été condamné à verser 20 000 euros à Siné pour rupture abusive de contrat. En outre, pour le TGI,« la médiatisation de la rupture et le caractère humiliant de son annonce apprise en même temps que les lecteurs par la publication du numéro du 16 juillet 2008, ont causé à Siné un préjudice moral qu’il convient d’indemniser en lui allouant la somme de 20 000 euros ». Soit un total de 40 000 euros auquel il faut ajouter 5 000 euros de frais de justice.

    Pourtant Charlie Hebdo a préféré faire appel. Et c’est ainsi que Siné vient de remporter une deuxième victoire, avec un jugement encore plus terrible pour l’hebdomadaire :

     « Charlie Hebdo est condamné une nouvelle fois par la justice à verser des dommages et intérêts au dessinateur Siné pour rupture abusive du contrat qui le liait au journal depuis 16 années. L’hebdomadaire dirigé par Charb devra également publier sur la couverture, un communiqué judiciaire sur un bandeau de 15 centimètres de haut sur toute la largeur sous peine d’astreinte de 2000 € par semaine. La cour d’appel de Paris par un arrêt du 14 décembre 2012 confirme ainsi le jugement de tribunal de grande instance de Paris du 30 novembre 2010. La cour condamne le journal à verser 90 000 € de dommages et intérêts et 15 000 € pour les frais de justice au lieu des 40 000 € et des 5000 € attribuées lors du premier jugement. » (extrait du communiqué de presse de Siné) [5]

    Nous rappelions qu’au moment du premier jugement, les juges médiatiques de Siné (nommés plus haut) n’avaient pas fait la publicité de cette condamnation... Cette fois-ci, le silence est assourdissant.

    À l’époque des faits, Laurent Joffrin, alors directeur de Libération, mais également proche de Philippe Val, s’était fendu de deux articles qui ne faisaient pas preuve d’une grande honnêteté intellectuelle. Dans le premier il n’hésitait pas à comparer la phrase de Siné aux œuvres complètes de Drumont, Maurras ou Brasillach. Dans le second, que nous avions décrypté en long et en large ici-même, il accumulait les insinuations, multipliait les omissions et surtout, réécrivait l’histoire. Maintenant que Siné a gagné deux fois, Joffrin, parti de Libération pour Le Nouvel Observateur, a choisi le silence. Quant au nouvelobs.com, il s’est contenté de reproduire le communiqué de l’AFP annonçant la victoire de Siné... sans rappeler les virulentes prises de position de Joffrin.

    Les éditocrates ont la mémoire courte... ou la mémoire sélective.

    Mathias Reymond

  • « Siné ! Siné outragé !

    « Siné ! Siné outragé ! Siné brisé ! Siné martyrisé ! Mais Siné libéré ! »

    Oui je sais c'est un peu emphatique juste pour Siné, mais c'est pour faire chier... les cons.

    « Ah ils nous en ont fait avaler des couleuvres
    De Prague à Budapest de Sofia à Moscou
    Les staliniens zélés qui mettaient tout en oeuvre
    Pour vous faire signer les aveux les plus fous »

    Jean Ferrat.

    Ainsi, en cette veille de Noël, le tribunal a donné raison a Siné contre Charly Hebdo, contre Val (pas confondre avec Valls !) et tous ces chiens de garde, ces éditocrates ou caricatocrates, qui, bien qu'ayant percé dans la contestation sans limite (apparente), ont aujourd'hui une certaine idée de la descence.

    Les faits ici : http://www.acrimed.org/article3963.html

    « Il y a des chose qui ne se font pas » (quand même)

    Eh ! Oui ! en prenant de l'âge on veillit (Mr de la Palisse), et du confort on se conforte (Monseigneur mediacratos)

    On se conforte dans quoi d'ailleurs ? Des idées toutes faites ? Des conneries généralistes ? Des bluettes embourgeoisées ? Je ne sais pas.

    Mais surtout on ne veut pas d'emmerde. Et là, passées les bornes il n'y a plus de limites..

    Et une de celles-ci c'est le mot juif. D'ailleurs c'est simple il est strictement interdit de dire qu'il existe des groupes de pression juifs bien qu'ils aient pignon sur rue et se définissent eux-même ainsi. Aux E.U on parle de lobbies et personne n 'en fait une jaunisse, c'est considéré comme un fait.

    Oh ! tout doux, les gars je ne dis pas que Siné fut victime d'un lobby juif (en France avec les lois anti-tout à rallonge tu vas en prison sur un coup comme ça, pas les moyens moi) je dis qu'il a été victime q'une ploutocratie journalistique qui a chié dans son froc en supposant les réactions de ceux qui n'existent pas.

    Surtout que les représentants des différentes associations juives n'auraient peut-être pas relevé. Il est plutot classique, chez les puissants, d'adopter le mode de vie voir la religion des groupes qu'on désire intégrer. Rien de très choquant. Henry IV avait fait de meme, puis établi un certaine liberté religieuse.

    Non juste les chiens de garde, pas sûrs d'avoir leur pâtée, ont devancé leur maîtres. A mon humble avis ils les ont emmerdés, parce que, vu sont histoire, traiter Siné d'antisémite, faut quand même être très de mauvaise foi ou très inculte.

    Remarquez la même engence (mais uniquement en France) a bien traité N. Chomsky d'antisémite alors ...on n'est plus à une connerie près.

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    Z'auraient pas un putain de complexe historico-machin les pseudo-intellos français (heureusement je n'ai pas vu de vrai intello dans la liste des chasseurs de sorcières ouf !) depuis les affaires Calas, Dreyfus, et le Ve'l d'hiv. avec les religions ?

    Moi qui bêtement croyait que juif ça n'était qu'une religion comme catholique, protestant, musulman ou indhouiste etc.

    Moi qui bêtement pensait qu'il était autorisé de critiquer les religions comme le reste dans une démocratie, ce qui me placerait d'office dans le camp condamnable des anti-sémites mais aussi des islamophobes. Car vous avec remarqué, bien sûr, que la loi fançaise assimile la critique de l' islam (une religion) à du racisme.

    Vous avez donc remarqué que, par conséquent, la loi de séparation des église et de l'Etat est d'ors et déjà de facto caduque. Non ! Non ! Il n'y a pas de mais ... c'est un fait.....Autrement cette disposition devrait être cassée comme anti-constitutionnelle.

    Mais quand même un tribunal d'appel, car ils avaient fait appel les trublions bien-pensants, les rebelz' de salon, les libertaires embougeoisés, un tribunal d'appel disai-je donc, a donné raison à Siné. Et c'est tant mieux.

    Ah ! Au fait, rien dan le nouvel-obs (dont le patron avait crié avec les loups) et rien chez les autre non plus : B.H.L, Alexandre Adler, Claude Askolovitch, Pascal Bruckner, Robert (lui ça m'emmerde quand même !) et Élisabeth Badinter (elle aussi) etc. Et pourtant ils étaient à fond pour la loi (quand ça les arrange).

    Pour parodier une parodie de notre Gégé (dorénavant international) je ne dirai qu'un mot à Siné : « Bravo ma couille ! »

    Enfin les religions étant toujours pour moi l'opium du peuple je vous avouerais bien que je suis islamophobe, judéophobe, christianophobe, indouhistophobe, et tous les religionophobe que vous voudrez. Mais je ne suis pas arabociste, indienociste, blancociste, israelociste, palestinienociste et tous le cistes que vous voulez.

    Ces glissements sémantiques systématiques à but politique m' horripilent : il serait temps de parler clair : le mot engendre la pensée, faudrait pas trop jouer avec, ça nous a déjà coûté cher.

    Ah ! Si : Une chose ! Les curetons de toutes sortes vous voulez bien nous lâcher la grappe (c'est le cas de le dire) sur le mariage « pour tous » ; ça ne vous regarde pas, on parle du mariage civil.

    Allez faire vos mariages discrimnateurs dans vos églises étriquées et cessez de vous occupez des choses qui on été séparées en 1905. Personnes ne conteste votre droit aux prières ou autres coutumes religieuses mais dans vos lieux de culte s'il vous plaît.

    Pour ce qui concerne la gestion de l'Etat il existe un truc qui s'apelle des élections, une assemblee nationale et un système judiciaire au cas ou vous l'auriez oublié.

  • Le verre droit pour marcher droit

    INSOLITE  Le verre droit pour marcher droit

    Noël plombe l’économie britannique. Les traditionnelles fêtes d’entreprise coûteraient près de 260 millions de livres en baisse de productivité, à en croire une étude réalisée sur 1 500 salariés. Le lendemain des libations, environ un quart des employés travaillent moins de quatre heures pour cause de gueule de bois. Environ un cinquième d’entre eux se font porter pâles ou arrivent en retard, noteThe Daily Telegraph



    Un employé sur dix avoue regretter son comportement, qu’il ait taillé un costard à ses collègues ou embrassé (voire plus) un de ses supérieurs hiérarchiques.
    Pour trinquer sans trinquer, optez pour un verre droit. Vous sifflerez votre boisson moins vite que dans un verre évasé (onze minutes contre sept en moyenne), ainsi que le montre une expérience effectuée par l’université de Bristol avec 160 cobayes. Raison probable ? On a tendance à modérer sa descente lorsqu’on déjà éclusé un demi-verre ; or la moitié du récipient est plus difficile à percevoir lorsque les bords sont évasés,indique The Economist.

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    A propos de verre, chacun connaît les méfaits de la drogue du viol, glissée subrepticement dans la boisson de jeunes femmes (ou hommes, c’est selon). Un Américain a conçu des pailles et gobelets qui détectent la présence de psychotropes comme le Rohypnol. Votre verre transparent vire au rouge ? Attention, danger ! Mike Abramson a besoin de 50 000 dollars pour mener son projet DrinkSavvy à terme, indique le site de financement participatif indiegogo.com. C’est Noël, soyez généreux : pour faire la nique aux violeurs, mettez la main à la bourse !
    Le projet DrinkSavvy