Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Empire - Page 11

  • TUERIE DE NEWTOWN

    observatoire le 07/06/2013 par la rédaction

    TUERIE DE NEWTOWN : LES PHOTOS SERONT INTERDITES DE DIFFUSION

    Michaël Moore au centre d'une polémique

    Les images de la tuerie de Newtown pourraient-elles aider à combattre le lobby des armes aux USA ? Cette question est au coeur d'une polémique entre des parents de victimes et Michaël Moore, réalisateur du documentaire "Bowling for Columbine". Ce dernier se retrouve accusé par ces parents de victimes de la tuerie de Newtown de vouloir utiliser les photos pour détruire la NRA, le très puissant lobby pro-armes. Le tout sur fond de discussion d'un projet de loi sur la question à l'Assemblée du Connecticut. 

    Faut-il montrer les photos de la tuerie de Newtown ? C'est la polémique qui anime actuellement les Etat-Unis.

    Un projet de loi, étudié le 1er juin, à l'Assemblée du Connecticut pose clairement cette question. Ce texte vise à interdire la diffusion des photos de la tuerie de Newtown. Dans le cadre de la discussion et en marge de celle-ci, une pétition a été lancée par des parents de victimes pour encourager les députés à voter pour l'interdiction. Elle a récolté en cinq jours plus de 100 000 signatures.

    Que dit exactement cette pétition ? On peut notamment y lire : "Michael Moore et les charlatans veulent publier ces affreuses informations. Pour le bien des enfants survivants et celui des familles, il est important que ces informations soient gardées privées".

    "Gardez les informations de la scène de crime de Sandy Hook privées picto
    pétition Newtown

     

    capture d'écran m. moore

     

     

    Que vient faire, Michel Moore, le réalistateur de "Bowling for Columbine" dans cette histoire ? La polémique a commencé par un très long article du célèbre réalisateur américain, le 13 mars, intitulé"America You Must Not Look Away (How to Finisf Off the NRA)" "Amerique, tu ne dois pas regarder ailleurs. (Comment en finir avec la NRA)", publié sur un blog duHuffington Post.

    Dans cet article, paru en pleine préparation d'un projet de loi sur le contrôle des armes à feu au sénat américain, Moore explique comment les photos ont souvent été utilisées pour ouvrir les yeux aux Américains face à de nombreux scandales, citant à la fois la guerre du Vietnam mais aussi la ségrégation. Evoquant les photos de la tuerie de Newtown en décembre dernier, il écrit : "Ces photos vont sûrement sortir un jour. Quand cela arrivera, je demande aux Américains de ne pas s'en détourner" et il ajoute : "Mais j'ai une prédiction. Je pense que quelqu'un à Newtown au Connecticut -un parent en deuil, un policier bouleversé, un citoyen qui a vu assez de carnages dans notre pays- quelqu'un, un jour prochain, va divulguer les photos de la scène du crime de la fusillade qui a eu lieu à l'école primaire de Sandy Hook. Et quand les Américains verront les effets des balles de fusils d'assaut tirées à bout portant sur des petits corps d'enfants, ce jour là, ça sera cuit pour la NRA. Ce sera la fin du débat sur le contrôle des armes. Il n'y aura plus de raison de débattre. Ce sera juste terminé. Et chaque américain normalement constitué demandera des mesures."

    S'en suit une description très détaillée de blessures provoquées par les armes d'assaut. L'article se termine par ces mots: "Préparez vos bagages, NRA- vous êtes sur le point d'être mis à la porte. Parce que nous refusons de laisser un autre enfant mourir de cette manière. Compris ? Je l'espère. Tout ce que vous pouvez faire maintenant c'est prier pour que personne ne divulgue ces photos".

     

     

    C'est alors que l'affrontement médiatique et idéologique a commencé. Le soir même de la publication de l'article, la chaîne Fox news

    pictoréagissait dans le talk show quotidien de Sean Hannity,

    accusant Moore ce "dangereux gauchiste" de vouloir divulguer les photos des victimes de Newtown et de détruire la NRA.

    Le lendemain, c'est le site web de Fox qui prend le relais. Ainsi, un article de foxnews.com cite un certain nombre de parents d'élèves et d'habitants de la ville, tous choqués par l'appel de Michael Moore. L'article commence par ces mots : "Les propositions du réalisateur Michael Moore suggérant que le fait de montrer les photos des victimes permettrait d’accélérer la disparition de la NRA sont loin d'être appréciées dans la communauté bouleversée du Connecticut."

    L'affrontement a repris ces derniers jours. En effet, alors que les discussions sur le projet de loi sont sur le point de débuter, les parents de l'une des victimes de Newtown ont publié une lettre ouverte dans le New Haven Register. Ils y font encore une fois référence au réalisateur : "Nous ne pouvons pas supporter l'idée de voir les images de nos enfants morts promouvoir les objectifs politiques de quiconque. Par exemple, le réalisateur Michael Moore a commencé ce qui était pour nous une horrible campagne, pour rendre publiques les photos de la scène du crime, dans l'espoir que cela incitera la législation sur les armes. Nous ne voulons pas que nos enfants soient les dommages collatéraux d'un combat politique partisan."

    Face à ces nombreuses accusations, Michael Moore a décidé de répliquer dans une interview le 4 juin dans The Hollywood Reporter. Il explique qu'il n'a jamais voulu diffuser lui-même les images, mais a seulement appelé à ne pas s'en détourner: "Quand vous lisez l'article en entier, (vous pouvez le voir), je n'appelle pas à la diffusion de ces photos, nom de dieu. J'ai dit que lorsque les parents décideront de le faire, ou si malheureusement elles sont divulguées, j'encourage les gens à ne pas s'en détourner. C'est notre responsabilité envers ces enfants de savoir ce que nos lois leurs ont fait." Et d'ajouter : "Je n'ai jamais dit que j'étais sur le point de divulguer ces photos, ni d'ailleurs que j'en avais l'intention. Et franchement, je suis opposé au fait que quelqu'un diffuse ces photos sans la permission des parents."

    Dernier épisode de ce bras de fer : mercredi 5 juin, l'Assemblée générale du Connecticut a voté à une grande majorité le projet de loi House Bill 6424, dont un des amendements interdit la diffusion de photos, vidéos ou supports audio concernant les victimes de la tuerie de Newtown sans l'accord de leurs proches. La législation doit entrer en vigueur dès la signature par le gouverneur de l’État.

    Citant John Mckinney (leader de l'opposition au Sénat) après le vote de la loi, le Connecticut Post rapporte : "notre intention est très claire, la divulgation publique d'une image d'un enfant brutalement assassiné, d'un conjoint ou d'un proche provoquerait une douleur émotionnelle et violerait la vie privée des parents ainsi que des autres membres de la famille survivants."

    Quelques jours après la tuerie de Newtown, sous le coup de l'émotion, Barack Obama avait formulé des propositions ambitieuses pour le contrôle d'armes: contrôle du passé mental et judiciaire des futurs acheteurs, interdiction des armes d'assaut. Après de longues négociations au Congrès, Obama et les républicains étaient arrivés à uncompromis le 14 avril. Salué par la presse américaine, il laissait pourtant de côté un certain nombre de propositions de départ. Finalement, le 19 avril, le projet de loi était rejeté par le Congrès, 46 sénateurs ayant voté contre le projet, dont 4 démocrates. Rejet qualifié de "honte" par le président américain.

    Par Yaël Caux

     
  • Armes à feu


    Armes à feu : le congrès survolté de la NRA

    04 MAI 2013 | PAR LA RÉDACTION DE MEDIAPART

    La convention annuelle de la NRA, le puissant lobby des armes, bat son plein ce week-end du 4 mai à Houston. 70 000 personnes sont attendues pour cette réunion de trois jours, dont le thème est « Stand and Fight » (Debout et au combat), et au cours de laquelle les participants peuvent visiter un gigantesque salon d’armes, assister à des concerts de musique country, et écouter de nombreux discours enflammés condamnant les partisans d’une loi plus stricte sur le contrôle des armes.

    Les participants sont revigorés par la récente défaite au Congrès américain de nouvelles mesures de contrôle des armes, qui avaient été proposées par le président Barack Obama dans la foulée de la tuerie de Newtown l'an dernier dans une école primaire du Connecticut.

    Toutes les stars républicaines ayant des ambitions présidentielles ont pris la parole lors de la séance d’ouverture : le sénateur texan Ted Cruz, nouvelle idole du Tea Party, le gouverneur de la Louisiane, Bobby Jindal, l’ancien candidat Rick Santorum, dénonçant la partialité des médias.

    Toujours populaire, Sarah Palin a clos la séance d'ouverture en accusant le président Obama et le maire de New York, Michael Bloomberg, d’utiliser la tuerie de Newtown pour faire avancer leur agenda politique. Et elle a salué les membres de la NRA : « Vous ne battez pas en retraite et vous menez un combat dont je suis fière de faire partie. Je vous remercie la NRA. Je vous demande à tous de conserver la foi et de continuer de lutter pour notre liberté. Que Dieu vous bénisse et bénisse les Etats-Unis d’Amérique. »

    Ne voulant pas abandonner le terrain aux pro-armes, les anti-armes sont aussi présents ce week-end à Houston pour sensibiliser l’opinion à la violence générée par les armes. Ils ont commencé à lire en continu les noms des quelque 4 000 victimes d’armes à feu depuis Newtown.

    Voir quelques images sur le site d'Euronews

     

  • Hollywood, propagande noire et guerre terroriste

     

    C’est en Californie que l’Empire de l’image possède ses usines, ses laboratoires, ses bases pour la guerre que l’Amérique-Monde livre à l’humanité. Le mot guerre n’est pas excessif car c’est bien de cela dont il s’agit, la culture est en effet une arme de guerre et parmi les plus dévastatrices.

    Autrefois les conquêtes visaient à occuper des territoires, s’approprier des richesses, soumettre physiquement les populations. Soumission des hommes à un ordre étranger qui ne concernait que leur corps et leurs biens. L’on pouvait être esclave et en même temps rester libre spirituellement et moralement. Aujourd’hui les forces qui s’exercent sur les peuples devenus quasi imperceptibles, les vrais pouvoirs n’apparaissent plus sur le devant de la scène, ils s’exercent de façon souterraine, dans les coulisses, au sein de fraternités occultes. Désormais presque toujours, à de rares exception près, dirigeants et politiques ne sont plus que des exécutants, voire de simples marionnettes au service des véritables maîtres et décideurs… lesquels demeurent dans l’ombre, ignorés et inconnus du grand public.

    Mais pour qu’une telle situation ait pu être rendue possible il a fallu au préalable conditionner les masses, déformer leur perception des choses et subvertir l’ordre naturel, renverser les valeurs les plus fondamentales… jusqu’à par exemple leur faire accepter les mœurs les plus déviantes, notamment l’inversion sexuelle, de nos jours devenues des normes sociétales s’imposant à tous… à tel point qu’aujourd’hui le Département d’État américain exerce de fortes pressions sur nombre de gouvernements, notamment africains, pour libéraliser les législations en faveur d’une permissivité extrême. Dans ces guerres de l’esprit Hollywood est au premier rang comme véhicule et diffuseur inlassable des nouvelles “valeurs“, à savoir cette idéologie mortifère, « culture de mort »  naguère dénoncée par le Pape Jean Paul II en 1995 dans son Encyclique “Evangelium vitæ“. Car le Nouvel Ordre Mondial ne se contente plus de la soumission matérielle des Nations, ce dont il est question aujourd’hui, le but poursuivi, est bien la servitude des esprits, l’asservissement des âmes. Hollywood est à ce titre la fabrique d’une vision universelle du monde, totalitaire et mensongère. Un monde massifié, aveugle, celui de termitières humaines que de dirigent quelques poignées d’oligarques obéissant eux-mêmes à de grands initiés et à des lois non écrites, mais toute puissantes.

    De ce point de vue, chacun sait ou a pu empiriquement constater que les conflits ouverts, la conquête des peuples par la force armée, sont toujours actuellement précédés par une intense guerre médiatique visant à diaboliser l’ennemi désigné et à l’isoler sur la scène internationale. Il s’agit de faire accepter le déclenchement des hostilités par les opinions publiques des États belligérants, non pour recueillir leur consentement mais afin de leur faire accepter d’inéluctables sacrifices financiers ou les pertes humaines à venir. Il s’agit également d’isoler le pays et le régime à abattre (l’un ne vas pas sans l’autre) en le discréditant et pour ce faire, en le chargeant de tous les crimes possibles, le plus souvent inventés de toutes pièces. In fine, il s’agit d’affaiblir intérieurement la cible en démoralisant ses populations, en injectant le doute et la peur dans l’esprit de ses élites, en un mot en délégitimant l’État, ses institutions et son gouvernement.

    Cette guerre médiatique préalable a pris désormais une telle importance que celui qui en est victime, s’il ne parvient pas à temps à s’en prémunir efficacement, est à l’arrivée presque assurée de perdre la guerre sur le champ de bataille. Le travail de sape des médias en effet, mine peu à peu les défenses morales, ruine l’esprit de résistance et la combativité des peuples. Quand vient l’heure fatidique, quand les hostilités sont ouvertes et que sont lancés les premiers assauts aériens, que les bombes pleuvent sur les centres névralgiques du pays, quand les missiles de croisières et les drones sillonnent le ciel, la guerre est déjà perdue en grande partie… parce que la vraie bataille, celle de l’esprit et des âmes, a déjà été livrée et perdue. Il y a certes des exceptions, la Syrie en est une qui résiste depuis presque deux années et ce, malgré l’extraordinaire déferlement de mensonges et de désinformation dont elle est accablée.

    Mais cette guerre d’asservissement des âmes n’est pas opportuniste, elle vient généralement de loin. Elle ne commence pas a priori ni avec l’ouverture des hostilités, ni même lorsque la “Communauté internationale“ entreprend d’imposer un embargo ou un régime de sanctions à la future victime, dix années ou plus avant la montée aux extrêmes. C’est très en amont que l’industrie de guerre culturelle s’est mise en marche. Une guerre intellectuelle et spirituelle livrée par tous les moyens de communication audiovisuels et spécialement le cinéma. Celui-ci, puissamment émotionnel, s’adresse aux masses par le truchement de fictions détachées du réel dont l’impact est aussi durable que profond sur le psychisme des foules. Ainsi la machine de guerre culturelle travaille sur le moyen, voire le long terme, c’est à dire sur plusieurs décennies, dès à partir du jour où un pays commence à montrer des réticences à s’intégrer sans rechigner dans la sphère d’influence globaliste anglo-saxonne. Parce que la nouvelle Carthage de Manhattan, associée à sa sœur aînée de Londres, qui se trouve au cœur de la super production « The Dark Knight Rises », a déclaré une guerre totale et impitoyable à tout ce qui lui résiste . Autrement dit tout ce qui a foi en une identité ethnohistorique, une authentique religion transcendante, doit être combattu et éradiqué… c’est une proie qu’il faut dévorer !

    Prenons l’exemple de l’Europe dont l’identité culturelle, la religion, les mœurs ont été sciemment et savamment soumis à l’acide de la contre-culture hollywoodienne afin de conditionner les européens à la fusion dans le grand chaudron mondialiste… cela sous couvert d’une Union purement formelle, juridique, sans réalité charnelle. Maisles mots ne sont pas des choses et la magie de l’image et de la réalité virtuelle, aura été de faire accroire que la fiction est la vérité. En fait l’Europe est une mauvaise fiction, une série “B“, un mauvais rêve et un vrai mensonge qui masque mal le démantèlement systématique des Nations européennes. Les Européens ont été brisés par des guerres successives – la dernière en date étant celle des Balkans entre 1992 et 1999 – et pour le reste progressivement anesthésiés voire lobotomisés par le « rêve américain » (en fait, un cauchemar) que les postes de télévisons déversent chaque jour dans chaque foyer sous forme de séries et de films abêtissant, avilissant, très souvent d’une violence inouïe et prônant l’intégral dérèglement des mœurs et des sens : drogue, ivrognerie sexuelle, dépravation… Chaque jour que Dieu fait les Européens absorbent ce poison, ce qui aura finalement conduit les sociétés européennes au seuil de la mort démographique conséquence d’une décomposition morale et sociale avancée comme aboutissement d’une inversion radicale institutionnalisée de toutes les valeurs sociétales. Des sociétés psychopathiques où l’esclavage est devenu synonyme de libertécomme l’avait si bien vu et prédit George Orwell dans son effrayant récit intitulé « 1984 » !

    L’Europe est tombée dans le marécage globalisant anarcho-libéral. Il importe donc à présent de réduire en Orient les dernières poches de résistance à cet ordre mondial massificateur, niveleur et dissolvant. Décennies après décennies depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, l’industrie hollywoodienne avec son irrésistible montée en puissance commerciale, va distiller des stéréotypes infâmant, créer et entretenir des légendes, fabriquer et exalter des mythes qui vont saturer et imprégner l’imaginaires collectif… d’abord l’imaginaire conscient et inconscient des peuples occidentaux, mais également, maintenant, celui de la planète toute entière. Dans cette perspective Hollywood va véhiculer des images fallacieuses qui se surimposeront à la réalité. Des images, des associations d’idées, d’authentiques conditionnements pavloviens programmés que l’expérience vécue aura le plus grand mal à démentir. Hollywood a réussi à créer une weltanschauung, une perception du monde dominante que rien ne vient contredire ou contrebalancer de façon décisive, pas même la Toile et les développements spectaculaires qu’elle connaît actuellement !

    Images d’une Amérique combattant soi-disant pour la dignité humaine, la liberté, l’égalité et le modèle social, “valeurs“ qui résument et s’expriment dans prodige que serait la démocratie libérale. À côté de cela, inlassablement, années après années depuis près de soixante dix ans, seront marqués du sceau de la Bête les adversaires ou simplement les critiques de ce “modèle“. Ceux-ci seront “les méchants“ désignés en fonction des besoins idéologiques, géopolitiques ou géoéconomique de l’heure. Sans parler des ennemis permanents, c’est-à-dire ceux dont le système sociétal ne partage pas les valeurs biaisées et faussement universalistes de la “démocrature libéraliste“ ou sont un obstacle à son extension par la force et par la ruse à tous les peuples de la planète.

    L’industrie du loisir, de l’entertainment, du divertissement est en résumé et avant tout une machine infernale destinée à “laver les cerveaux“ à l’insu des consommateurs. Pour ce faire toutes les techniques et les moyens de la publicité, de la “communication“, autrement dit la propagande sont mobilisés dans un seul but : formater la pensée collective des masses. Ces techniques et ces moyens font des progrès constants et bénéficient entre autres des recherches conduites dans les laboratoires universitaires et militaires des États-Unis dans le domaine des manipulations mentales. Notons l’existence de liens très forts entre Hollywood et le Secrétariat américain à la défense, celui-ci offrant d’immenses facilités aux producteurs de films pour l’utilisation des infrastructures et des personnels militaires, en contrepartie d’une écriture ou d’une réécriture en partenariat des scenarii. En clair, Hollywood, dans bien des cas agit dans le prolongement de l’Administration américaine, la coupure entre le pouvoir fédérale et les puissances d’argent n’existant pas aux États-Unis. Pire, nombre d’Agences de renseignements et de guerre subversive disposant d’une certaine autonomie d’action, ceci leur permet de poursuivre, indépendamment du Congrès et du gouvernement, leurs propres objectifs par des voies et moyens inavoués…

    Dès lors que la diplomatie américaine ne renonce pas à l’usage de la force quand les circonstances s’y prêtent ou le requièrent (ce qu’il convient de nommer “smart power“ ou diplomatie armée), l’industrie du divertissement se révèle être un indéniable précurseur des politiques d’influence et de coercition mises en œuvre par le Département d’État. Aujourd’hui les techniques utilisées vont très loin. Elles recourent très souvent à des messages qui passent sous le seuil de la conscience. Images, messages que l’œil, et partant le cerveau, enregistrent sans les percevoir de façon conscientes. Messages dits subliminaux, tels des incrustations de sons ou d’images invisibles au premier abord, mais parfaitement perceptibles au regard averti ou avisé.

    Il est par ailleurs clair qu’en dehors des conditionnements et des opérations de conditionnement psychologiques en accord avec les politiques de communication ordinaire et de propagande pour la préparation ou l’accompagnement des guerres, sont actuellement à l’œuvre des forces moins visibles, des organisations parallèles qui mènent pour leur compte des guerres de l’information, de la désinformation et du conditionnement psychique. Cela au profit d’entités étatiques par le truchement d’administrations ad hoc ou de services spécialisés… ou au profit de groupes de pression qui mènent des politiques et opérations en toute indépendance, ou bien au service de groupes d’influence plus souterrains et plus invisibles encore. Pour illustrer ce propos nous poserons quelques questions auxquelles nous laisseront à chacun la liberté d’apporter des réponses à sa convenance, en signalant à un cas où le hasard semble avoir joué, fort malheureusement, un rôle inédit : celui du film The Dark Knight Rises - Batman - de l’anglo-américain Christopher Nolan.

    Nous savons que les films américains sont innombrables dans lesquels un criminel, souvent un “serial killer“, un tueur en série, balise sont chemin sanglant d’indices tout comme le Petit Poucet du conte de Charles Perrault sème de petits cailloux le sentier qui le mène à l’antre de l’ogre. Nous savons à ce propos que la première sortie du film en question, The Dark Knight Rises, a été marquée par une tuerie à d’Aurora, dans l’état du Colorado… étrangement à proximité immédiate de la ville de Littleton célèbre pour une semblable tragédie, celle de Columbine, intervenue dans un établissement scolaire ! Or de façon incroyable et totalement incongrue le nom d’Aurora apparaît très nettement dans le film The Dark Knight. Ce qui pourrait n’être qu’une coïncidence suscite cependant une immense perplexité lorsqu’au détour des images apparaît également la mention de Sandy Hook - où a eu lieu la tuerie d’enfants de Newtown - sur une carte étalée ! Qu’en déduire a priori  ? Que penser de tels rapprochements, sinon que toute interrogation à leur sujet ne peut que relever du conspirationnisme le plus aigu ! Dans de telles occurrences l’esprit s’autocensure naturellement et automatiquement en s’interdisant tout questionnement ou toute interprétation sur de telles dérangeantes “coïncidences“ ! Pourtant quand on examine attentivement le scénario du film et les thèmes qui y sont développés, l’idée même d’une intervention de l’ange du hasard devient elle-même hasardeuse. On sait que les versions officielles pour les tueries d’Aurora et de Newtown comportent des zones d’ombre, qu’elles sont intellectuellement insatisfaisantes, à tel point que les propos extraordinaires du Républicain Michael Harris accusant un Service étranger d’avoir perpétrer ce crime pourrait prendre tout son sens s’il était avéré que les deux mentions aient pu être intentionnelles. Les deux “signes“ repérables dans le film The Dark Knight Rises  peuvent apparaître en effet pour ce qu’elles pourraient être à savoir des “signatures“, des messages d’avertissement destinés à quelques “initiés“, encore une manière de désigner des cibles pour des exécutants ou des exécuteurs potentiels, ou finalement des “signaux“ porteurs de menaces explicites lisibles par une frange étroite de la communauté du Renseignement ?!

    Tout cela n’est peut-être pas si extravagant que cela puisse paraître de prime abord. La guerre, les guerres se déroulent aussi et d’abord sous la surface des choses avant d’apparaître au grand jour. Des forces invisibles s’affrontent, manœuvrent et manipulent : c’est la grande leçon qui concluait judicieusement le film « Skyfall » du britannique Sam Mendes. Une autre superproduction, celle-là de la série des « James Bond » et non plus des “Batman“, dont l’univers onirique aura tant fait pour accréditer l’idée au sein des masses populaires occidentales et mondiales, à la fois de la prépotence des puissances atlantiques et aussi d’une conspiration mondiale récurrente des forces du mal contre la libre Amérique et le noble Royaume-Uni… dont la mission divine est la défense d’un “Monde libre“ affranchi de toutes les tyrannies de la tradition et de la morale naturelle.

    parcamus
     
     
  • 20% des enfants américains atteints de troubles mentaux

     

    Selon un rapport publié par le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC), près de 20% des enfants et adolescents américains sont atteints de troubles mentaux telles que l’angoisse ou la dépression. Et la tendance est à la hausse.

    Entre 1994 et 2011, le nombre d’américains âgés de 3 à 17 ans souffrant de troubles mentaux a accusé une nette augmentation jusqu’à atteindre 20% de la classe d’âge concernée. Le CDC, à l’origine de l’enquête, ne fournit pas de détails précis sur cette envolée, mais précise que dans le cas présent que les troubles mentaux sont définis comme de « graves écarts dans le développement attendu des fonctions cognitives, sociales et émotionnelles pouvant se traduire par des retards dans l’apprentissage scolaire, dans la capacité à se faire des amis et plus tard dans l’aptitude à construire des relations à l’âge adulte ».
    En outre, les enfants concernés seraient plus exposés aux risques de diabète et, évidemment, de maladies mentales. Le CDC précise enfin qu’aux Etats-Unis ce sont 247 milliards de dollars qui sont dépensés chaque années en frais médicaux pour les troubles psychologiques.
     
  • Monsanto & Co : Disparition des abeilles

    Monsanto & Co : Disparition des abeilles, menace de guerre globale et grosse monnaie !

    Le Kremlin a décidé de prévenir l'Oncle Sam.

    A force de protéger des multinationales "qui nous veulent du bien" comme Monsanto, on voit bien la volonté du gouvernement américain à venir défendre encore et toujours son économie.

    Un rapport du ministère des ressources naturelles et de l'environnement de Russie a annoncé qu'une gamme d'insecticitdes détruit purement et simplement la population d'abeilles de la planète. Ce qui, bien évidement, au vu de leur rôle de pollinisation n'est pas de bon augure.

    Suite à ce rapport, la Commission Européenne a pris des mesures de précaution, interdisant l'usage de ces pestiucides pendant 2 ans.

    Dans ce rapport, on peut apprendre que le marché des pesticides est contrôlé par un oligopole de 4 firmes à quasiment 100% :

    Monsanto, que nous ne présenterons plus.

    Syngenta, à la base société suisse avec une détention majoritaire de The Capital Group Companies pour 9.84 %, viens ensuite Blackrock pour 5.06% et en troisième actionnaire majoritaire, The Growth Fund of America pour 4.94%. (source), bref du fonds de pension américain... Cette société produit les très sympathiques Cruiser et Actara, faisant l'objet d'une récente interdiction européenne (parmi d'autres...)

    Dow Chemical, société américaine notamment connu pour sa participation à l'élaboration de l'agent orange.

    - et DuPont, société américaine.

    Soit approximativement entre 8 et 10 milliards de Dollar de bénéfices net chaque année à eux quatre.

    En plus de relever des dégats incommensurables sur les abeilles, d'autres dégats sont avancés sur d'autres espèces. (source)

    Ce serait donc une partie de la biodiversité et de la vie qui seraient sérieusement mise en jeu par ces multinationales par l'usage de certains de leurs produits. Mais le gouvernement américain tient à protéger une petite mine d'or. D'ailleurs ce gouvernement américain n'est il pas déjà trop infiltré par certaines de ces multinationales, pour être un minimum objectif ? 

    Mais d'ailleurs, qu'est-ce qui différencie aujourd'hui l'intérêt des grosses multinationales et du gouvernement américain ? Dur, dur de différencier...

    Et bien évidement, si les abeilles ne pollinisent plus, il va falloir acheter des semences... Et à qui va-t-on bien pouvoir acheter ces semences ? On se le demande bien...

    Alors que la Commission Européenne a pris le chemin de la criminalisation dans le domaine des graines et des plantes non enregistrées avec le gouvernement. Nous voilà, à l'aube des jours nouveaux qui pourrait bien se transformer en catastrophe planétaire, tant la situation risque de se crisper sur l'échiquier international. Poutine fait attendre John Kerry 3 heures, et prévient d'une menace de guerre concernant la capacité des Etats-Unis à brusquer l'environnement avec la disparition des abeilles. En effet, il s'agit de pouvoir manger, pour nous même et pour l'Humanité en général et à long terme.

    Obama a signé en catimini le "Monsanto Protection Act", assurant la supériorité de Monsanto vis-à-vis des lois américaines, laissant sans recours tout son peuple contre l'industrie crimino-chimique américaine. Pauvres américains...

    Qu'adviendra-t-il au moment où les Etats-Unis continuent d'assurer l'hégémonie de leur industrie toxique avec leurs organismes génétiquements modifiés ? Qu'adviendra-t-il au moment où l'on considérera cette position comme un crime contre l'Humanité ? Ou qu'adviendra-t-il, si leur funeste dessin voit le jour ?

    Quelques chose me dit que John Holdren, toujours en poste et en photo à côté du président américain se frotte les mains... L'application du livre qu'il a co-écrit en 1977 "Ecoscience : population, ressource, environnement", n'est peut-être plus très loin...

    Quelque chose me dit qu'il n'y a plus beaucoup de barbelés, mais que l'eugénisme risque de ressurgir et de prendre une forme nouvelle. Bien plus insidieuse, surtout quand on commence à contrôler Mère nature. Nous sommes bel et bien les cobayes de savants fous aux manettes, tout se passe bien sous nos yeux...

     

    "Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlez le peuple, contrôlez la monnaie et vous contrôlerez le monde" - Henry Kissinger