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Conso - Page 4

  • L'obsolescence programmée:La fin?

    Gazette d'@rrêt sur images, n° 279

    La fin d'un mythe ? A mes yeux, je l'avoue, l'existence de l'obsolescence programmée allait de soi. Que les fabricants de téléviseurs ou d'ampoules déploient des trésors d'ingéniosité pour rendre leurs produits moins durables, et en écouler ainsi davantage, me semblait une évidence. Notamment depuis que j'avais vu, en 2011, un mémorable documentaire d'ARTE, Prêt à jeter, dans lequel était racontée en détail la naissance d'une entente de producteurs d'ampoules, dans les années 20, afin d'abréger la vie de ces ampoules. Et cette semaine encore, à l'occasion du dépôt d'une proposition de loi au Sénat, les JT ont encore embouché cette trompette.

    Patatras ! En creusant le sujet, cette semaine, pour préparer l'émission, nous nous sommes rendus compte que les choses étaient moins simples. Ainsi, si ces ampoules ont été rendues moins durables, c'était pour qu'elles soient... plus lumineuses (ARTE n'en disait mot). Attention : cela ne signifie pas que les fabricants de téléviseurs, de smartphones, ou de collants, soient des anges. Leurs trucs pour nous pousser à consommer sont innombrables, et pervers. Mais il ne faudrait pas oublier le rôle que jouent, dans cette spirale, les distributeurs, la pub, et nos propres désirs de consommateurs. Bref, attention aux slogans simplistes. Si vous aimez croire aux fables, ne regardez surtout pas notre émission. Dans le cas contraire, elle est ici(1).

    Daniel Schneidermann

  • Labels de la viande

    Labels de la viande et conditions de vie des animaux 

    Vous mangez de la viande ? Modérez avant tout votre consommation car comme on a pu le voir dans les articles sur la viande et la santé, les élevages et l'environnement mais aussi l'ensemble de nos articles sur l'élevage industriel, il est urgent de diminuer votre consommation !
    Mais si toutefois vous en consommez, voici de précieux renseignements sur les conditions de vie précises des animaux en fonction des labels.



    Les poulets
    Les conditions de vie des poulets dans les élevages standards sont en tout point inadmissibles (espace de vie ne permettant par la moindre marche, croissance forcée artificiellement par un programme lumineux intense et des ajouts alimentaires plus que douteux…) Quelle qualité peut-on attendre d’un tel produit ? Comme le disent certains producteurs de ces élevages : « ce sont des produits à vendre, non à manger ! ». 

    Pour animal cross, le chapon et la poularde sont à boycotter puisqu’ils subissent une castration sans anesthésie. Cette souffrance gratuite pour l’animal rapporte gros à l’éleveur ! Est-ce tolérable ?

    animal cross vous recommande donc de choisir préférentiellement : 
    • les poulets issus de l’agriculture biologique (label AG),
    • les poulets portant le label Rouge,
    • les poulets AOC de Bresse.
    Ces élevages sont plus respectueux de l’animal et de l’environnement (AB et AOC) et offrent des produits de qualité supérieure.

    Certes, ce sont des produits globalement plus chers, mais ils garantissent une vie supportable pour l’animal, une alimentation saine pour vous-même et votre famille, un environnement davantage respecté. En effet, savez-vous que lorsque l’on consomme un poulet nourrit au tourteau de Soja, nous contribuons à la déforestation de la forêt primaire Brésilienne ?

    Pour connaître en détail les conditions de vie, d'alimentation et de soin des poulets en fonction de leurs étiquettes cliquez sur le pdf joint : 



    Les lapins

    Il semble que seul l’élevage en Agriculture Biologique confère un minimum de confort aux lapins d’élevage.

    Cependant, ce type d’élevage est de nos jours toujours extrêmement confidentiel. Il semblerait en effet qu’il rencontre de nombreuses difficultés à se développer pour des raisons de maîtrise technique (fort parasitisme, aléas climatiques). La conversion est donc difficile si l’élevage demande davantage de surveillance et de manutention pour une rentabilité moindre.

    En ce qui concerne les Labels Rouges, il faut retenir que les mentions « élevés en plein air » ou « en semi plein air » ne convainquent pas vraiment quant au mieux-être animal et à la qualité proposée.

    Sachant donc que la quasi-totalité de ces animaux est élevée intensivement, qu’il n’existe aucune législation française ni européenne pour protéger spécifiquement les lapins dans les élevages, est-il toujours raisonnable d’en consommer ? Surtout lorsque l’on sait que 52, 2% du lapin congelé importé en France provient de Chine ! et 12 % d’Argentine ! (11)

    (Quels sont les modes d’élevage là-bas ? Ne faut-il pas préférer les filières courtes afin de préserver notre planète des émissions de gaz à effet de serre ?)

    animal cross vous recommande donc de choisir préférentiellement :

    • les lapins issus de l’agriculture biologique (label AG), si vous en trouvez ! Ces élevages garantissent le respect des animaux et de l’environnement (AB) et offrent des produits de qualité supérieure.
    Tous les autres types d’élevage n’offrent pas de garanties de conditions d’élevage assez satisfaisantes (espace de vie, traitements, stress à l’abattage…) pour offrir un produit éthiquement consommable et sans résidus de traitements.

    Pour connaître en détail les conditions de vie, d'alimentation et de soin des lapins en fonction de leurs étiquettes, cliquez sur le pdf joint :

     
    Les porcs ou cochons

    Avec en moyenne 34, 8 kg/hab/an, le porc est la 1ère viande consommée en France et les français, les 3èmes  consommateurs de viande porcine en Europe derrière l’Allemagne et l’Espagne.

    La France est également le 3ème producteur de porc de l’Union européenne après l’Allemagne et l’Espagne. Mais sur les 25 000 000 de porcs qui sont élevés tous les ans dans les 23 000 élevages français(1), plus de 95% des porcs produits en France sont issus de fermes d’exploitation intensive. Les animaux y vivent dans des conditions choquantes que les consommateurs que nous sommes sont loin d’imaginer (espace de vie réduit à une case individuelle, parfois collective, mais toujours limitant les mouvements et interdisant toute exploration de l’environnement, sol en caillebotis facilitant l’élimination des déjections mais à l’origine de blessures douloureuses et rarement soignées, truies devenues des « machines » à produire du porcelet, totalement sous contrôle hormonal, dans l’incapacité totale de faire leur nid pour la mise-bas et sans contact avec ses porcelets, concentration d’animaux nécessitant de nombreux traitements médicamenteux pour palier à la fragilité des animaux et aux risques sanitaires accrus, production de déjection incompatible avec le respect de l’environnement non seulement à cause des effluves malodorantes mais également par l’épandage d’un lisier si riche en nitrate qu’il perturbe profondément et dangereusement les écosystèmes proches – voir le problème des algues vertes invasives et toxiques trouvées en Bretagne).

    Le cochon est un animal sensible et intelligent :

    Isolé et sans activité, il s’ennuie et déprime.
    Trop tôt séparé de sa mère ou élevé dans trop de promiscuité, il développe des troubles du comportement et devient agressif (il a servi de modèle pour étudier les troubles du comportement des enfants suite à un stress subit dans un jeune âge).

    Méfiez-vous de certaines filières de qualité :

    Les logos VPF (Viande de Porc Française) et CQC (Critère de Qualité Certifié) ne garantissent que l’origine française de la viande et la traçabilité de la filière. Ainsi, ils sont visibles sur des produits issus d’élevages intensifs.
    De plus, les filières dites « de qualité » ont souvent des fonctionnements mixtes : elles font naître les porcs en plein air mais ils sont ensuite engraissés industriellement.
    Même les filières Label Rouges ne se valent pas toutes : un porc LR peut être engraissé sur caillebotis intégral ou sur litière et le LR fermier sur caillebotis partielle avec une aire d’exercice couverte. De même, le porc issu de l’AB n’est pas forcement un porc élevé en plein air. Même s’il ne connaît jamais la cage et s’il bénéficie d’un espace confortable, il n’explore jamais un vaste terrain plein air.
    Le point noir de la filière pour animal cross est donc son organisation globalement cloisonner car soumise à la rentabilité maximale. Par exemple, faire naître un porcelet est un métier, les engraisser en est un autre, et dans la plupart des cas, sur des exploitations situées à des centaines de kilomètres l’une de l’autre.

    Animal cross souhaite donc voir évoluer l’ensemble des règles de conduite d’élevage, y compris pour les filières labellisées LR  et AB :

    En réunissant les activités naisseur-engraisseur afin d’éviter le transport de porcelet

    -          En interdisant l’utilisation d’hormones ou autres substances en vue d’améliorer le taux de reproduction

    -          En interdisant les stalles individuelles et les cases de mise-bas

    -          En imposant un maintien de la fratrie jusqu’à un sevrage à 40 jours

    -          En interdisant l’ablation des dents et de la queue

    -          En imposant l’anesthésie pour la castration des mâles, quelques soit leur âge

    -          En limitant la taille des élevages

    -          En interdisant le caillebotis y compris en zone de montagne

    -          En imposant un transport plus court vers les abattoirs

    animal cross vous recommande donc de choisir préférentiellement :

    • les porcs issus de l’agriculture biologique (label AB) plein air
    • les porcs issus de l’agriculture biologique (label AB)

    Les avantages des porcs issus de l’Agriculture Biologique sont principalement liés au fait que l’espace de vie est confortable (même s’il n’est pas plein air), que les traitement hormonaux d’assistance à la reproduction sont interdits, que les traitements thérapeutiques (antibiotiques ou autres allopathies) sont limités, et que les règles de production et de gestion des lisiers sont les plus restrictives.

    • les porcs Label Rouge plein air

    Ces élevages sont assez respectueux de l’animal et de l’environnement et offrent des produits de qualité supérieure. Comme dans les élevages AB, les truies doivent être élevées en groupe durant la plus grande partie de leur gestation. La précision « plein air » garantit un accès à un vaste espace d’exploration ou le comportement naturel de l’animal peut s’exprimer.  De plus, il élimine les problèmes d’odeur et limite les problèmes de lisier.

    N’oubliez pas que le porc  est un animal très sensible au stress. Tout stress nuit à la qualité de la viande.

    Le saviez-vous ?

    On retrouve du porc (et malheureusement du porc industriel) dans de nombreux bonbons, gomme à mâcher et même yaourt à 0% de matière grasse sous forme de gélatine que l’on extrait des os de l’animal. Pensez-y !

    Pour connaître en détail les conditions de vie, d'alimentation et de soin des porcs que vous consommer,  cliquez sur le pdf joint :

     
  • La vérité est sans nom !!! Bio

    La vérité est sans nom !!! Bio et compagnie : le traitement honteux des animaux d’élevage…

    Le « bio » ces trois lettres qui rassurent, et auxquelles je n’adhère pas, le « bio » c’est quoi ? Ce n’est que la manière qu’avaient nos anciens, d’élever et de produire de façon naturelle, avec  des animaux en liberté, et des plantations sans pesticides. Vous avez dit « bio »?…

    Mise en garde de TS :

    Un jet du Mich = REJET ?

    Il ne s’agit pas bien sûr de dénigrer le Bio ou les labels. Nous dénonçons par contre -et avec la rage que vous nous connaissez !-l’ensemble de la filière viande labellisée !!!

    Nous demandons aux bureaucrates qui réglementent ces labels, d’aller sur le champ -si l’on puits dire !- traire les vaches eux-mêmes, de s’immerger dans les poulaillers géants, en guise de stage de formation, de sortir en vitesse de leur paperasserie et de contrôler immédiatement -et que ça saute !- TOUS les élevages -car il y a en plus les tricheurs qui n’appliquent pas la règlementation !- pour constater, de leurs propres yeux et sans leurs lunettes grises, la terrassante vérité de la situation dans laquelle se trouvent toutes ces malheureuses bêtes, qui finissent dans nos casseroles, dans nos assiettes blanches décorées de petites fleurs, puis au fin fond de nos ventres de prédateurs endormis.

    Alors ? Vous avez dit Bio ?  

    Peut-être pour le menu des animaux détenus, pour leur bouffe qui ne contient officiellement « que » 1% d’OGM, par exemple… mais franchement si c’est juste pour que les condamnés -qui au passage n’ont rien fait !- aient droit, après le festin, à une brève sortie dans la cour de leur prison saumâtre et glauque, chacun attendant impatiemment son tour dans le stress de la bousculade générale, chacun épiant l’arrivée de la prochaine rame, dans la cohue incontournable… alors bonjour les animaux dits « élevés en plein air » !!!

    Sous les ventilateurs oui ! Et en suivant obligatoirement un parcours fléché de terre battue, la moindre pousse étant immédiatement dévorée par le premier venu ! Que les industriels osent l’écrire, même en tout petit, sur les emballages !

    Inondons le Web avec des mots justes ! Redressons-nous sur nos 14 milliards de jambes ! Laissons battre nos coeurs dans la transparence planétaire tant attendue !

    Merci pour nos amis à plumes ou à poils, qui sont, comme nous tous, des êtres sensibles… En tout cas il reste à s’en persuader pour notre propre espèce ! Non ?

    Quelle honte ! On se rassurait en achetant de la viande, bio, AB ou label rouge, au supermarché. Eh bien on vient d’apprendre que tous ces animaux mangent effectivement des céréales bio (sauf les labellisées label rouge, qui sont gavés d’OGM), mais qu’ils sont presque tous incarcérés, entassés, comme tous les autres, comme des choses, durant TOUTE LEUR VIE, dans des hangars sordides, et ne voient donc jamais la lumière du Soleil, ni ne broutent ou picorent dans les vertes prairies…

    De plus, ils subissent presque tous le stress des tapis roulants de la mort et sont abattus sans étourdissement.

    Poulets labellisés AB : 10 à 16 poulets par m² Porcs labellisés AB : de 1,4 à 2,3 m² (source PMAF)

     

    Pourtant les labels AB, bio et label rouge nous font croire que ces pauvres bêtes sont élevées en liberté. Eh bien c’est un gros mensonge ! Une tromperie de plus !

    Bienvenue à tous dans la supercherie mondiale !

    Seuls quelques agriculteurs élèvent encore leurs animaux en plein air. C’est chez eux, et uniquement chez eux, qu’il nous faut désormais acheter de la viande, du lait ou des oeufs, si nous voulons avoir la conscience propre et dormir en paix. A moins de devenir végétarien, ce qui exercera en plus un bénéfice pour notre santé.

    Quelle « humanité » !

    Une maman n’y retrouverait plus ses petits !

    Un article du Mich, publié par SOS-planete

     

    Voir à ce sujet le terrible et convainquant reportage de SANTECmedia 
    A diffuser sans modération sur les réseaux sociaux…

    Labels et bio : quelles différences pour les animaux, pour notre santé et pour l’environnement ?

    Vaches rescapées, encore élevées comme le faisaient nos grands pères. A chacun de choisir le petit éleveur local ! Pas si facile que ça…

     

    Note de TS : C’est comme si l’on servait des repas gastronomiques aux prisonniers à la place de la pitance habituelle. Ils resteraient tout de même des prisonniers, non ?

     

    Pour nous les zommes, nous les esclaves modernes, la situation n’est guère enviable

    Auteur : Mich

    Source : terresacree.org

  • Qui a peur des perturbateurs endocriniens ?

    cosmetiques

    S’il fallait faire un remake de Psychose en 2013, l’assassin se trouverait peut-être dans la douche cette fois ! Certes, les perturbateurs endocriniens ne tuent pas, ils se contentent d’exercer une action hormonale… y compris à des doses infimes. Mais après la publication de notre enquête sur la présence de perturbateurs endocriniens dans 66 produits cosmétiques et d’hygiène, il est probable que vous regardiez désormais votre gel douche ou votre déodorant d’un autre œil.

    L’Organisation mondiale de la santé ou le Programme des Nations unies pour l’environnement considèrent les perturbateurs endocriniens comme une menace pour la santé et l’environnement. Leur impact sur la fertilité ou sur les troubles neurocomportementaux ont déjà de quoi inquiéter. A long terme, ils sont aussi soupçonnés d’induire certaines formes de cancer hormono-dépendants, mais aussi le diabète de type 2, la maladie d’Alzheimer ou l’obésité.

    Mais les fabricants n’en ont cure, et ces substances ont littéralement envahi notre salle de bains ! Conservateurs, antibactériens, filtres solaires, émollients… Vous reprendrez bien un peu de triclosan (un conservateur susceptible d’agir sur la thyroïde) dans votre dentifrice ? Il vous sera en tout cas difficile de snober le propylparaben, que nous avons retrouvé dans 28 des 66 cosmétiques analysés. Et impossible de se fier complètement à l’étiquetage : si les molécules précisées dans certaines listes d’ingrédients ne se retrouvent pas toujours dans le produit, il arrive aussi qu’une substance non signalée soit décelée dans le flacon !

    Sans compter que nous utilisons la plupart du temps plusieurs produits d’hygiène qui contiennent des substances dont les effets s’additionnent (gare à l’effet cocktail !). Ainsi, le triclosan a été trouvé dans des teneurs acceptables dans des dentifrices ou des déodorants pris isolément… mais la plupart des consommateurs utilisent ces deux produits, et bien d’autres encore !

    Alors que la Commission européenne s’apprête à publier sa stratégie sur les perturbateurs endocriniens, une initiative appuyée de la France en la matière serait la bienvenue. L’approfondissement des recherches et un encadrement réglementaire plus strict (notamment sur les formulations et l’étiquetage) s’imposent… Sans pour autant céder à la psychose.

    1. Le 13 avril 2013 à 20:34, par restons simples
       

      Une règle simple, hommes femmes enfants ont-il besoin de tous ses produits des temps nouveaux. Dans les années 80, à la maternité, la règle était le persavon, rien d’autre mais à la sortie du séjour était distribuée une panoplie d’échantillons… du lait et autres cosmétiques pour le bébé et la maman pas encore pour le papa… tout ça est parti à la poubelle car pourquoi nous dire une chose pour ailleurs, nous encourager à une autre… tous ces produits n’apporte rien à notre quotidien, un pain de savon… rien d’autre devrait satisfaire les besoins de la toilette… et de sentir bon toute la journée… après si vous souhaitez vous empoisonner et empoisonner votre famille, vous achetez et utilisez tout le reste… mais maintenant vous savez ce qu’il va vous arriver à les utiliser… il suffit de ne pas les acheter et vous rendrez les industriels un peu plus soucieux de votre santé.

       
    2. Le 14 avril 2013 à 1:44, par Chantal
       

      Dans son livre « Le livre antitoxique, » chez Fayard, le Dr Laurent Chevallier, nutritionniste, spécialiste de médecine environnementale, attaché au CHU de Montpellier, estime que le prix à payer pour la santé de nos enfants sera élevé.

      Les perturbateurs endocriniens sont partout, dans des milliers de produits de consommation courante. Mais pour le Dr Laurent Chevalier, « ce n’est pas la dose qui fait le poison, mais le moment de l’exposition. »

      La période embryonnaire est une période de vie d’une extrême vulnérabilité. Si on est exposé par le biais de la grossesse à ces perturbateurs endocriniens il peut y avoir des conséquences par la suite. Il faut également faire lors de la petite enfance, entre 0 et 6 ans.

      Les perturbateurs endocriniens modifient l’action d’un certain nombre d’hormones. Soit ils vont limiter l’action des hormones, soit ils vont entraver leur action.
      http://www.franceinfo.fr/sciences-sante/info-sante/les-dangers-du-bisphenol-a-946211-2013-04-09

      On trouve en fin d’ouvrage un guide antitoxique pour se repérer au quotidien.