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  • Fukushima, deux ans déjà...


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    Fukushima, deux ans déjà... et on n'a pas fini de mesurer les conséquences de cet accident nucléaire : à Fukushima, de l'eau radioactive continue à se déverser irrémédiablement dans l'océan...

    Cette catastrophe a eu lieu le 11 mars 2011 au Japon. Ce mardi 6 août 2013, une "situation d'urgence" vient d'être déclarée par l'Autorité de régulation nucléaire japonaise à la centrale de Fukushima : de l'eau hautement radioactive s'écoule toujours dans l'océan Pacifique...

    Ces fuites risquent d'être hautement toxiques pour l'environnement, pour la faune marine et les hommes susceptibles de consommer des poissons contaminés...
     
    Ces fuites semblent aussi incontrôlées et incontrôlables : tritium, strontium, césium, un cocktail explosif se retrouve dans la nature, polluant les fonds marins.
     
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    La cause de ces déversements reste inconnue et mystérieuse, ce qui est d'autant plus inquiétant : impossible de juguler des fuites dont on ignore l'origine.
     
     L'opérateur de la centrale utilise un produit chimique souterrain pour solidifier les sols, mais, selon le quotidien japonais Asahi, il n'est pas efficace au niveau des nappes phréatiques.
     
    Cet accident nucléaire continue, plus de deux ans après, à polluer de manière irréversible le sol, les eaux, l'atmosphère.
     
    Au fil du temps, on découvrira sans doute tous les dégâts sur l'environnement, la flore, la faune : les hommes eux-mêmes ne seront pas épargnés...
     
    Le nucléaire nous conduit vers des impasses : on ne sait pas, en cas d'accident, contrôler les émanations, on ne sait pas détruire les déchets de l'industrie nucléaire, on ne sait pas les stocker de manière fiable et efficace....
     
    On ne peut prévoir tous les aléas du nucléaire, les accidents climatiques, les glissements de terrain, les séismes etc. 
     
    Les conditions de sécurité ne sont pas toujours respectées, en France, certaines centrales vieillissent et exigent des rénovations coûteuses...
     
    D'ailleurs, il semble que l'industrie du nucléaire devient de plus en plus chère et on en voit déjà les répercussions sur les prix de l'électricité qui ne cessent d'augmenter : l'entretien, la rénovation, le traitement des déchets génèrent des coûts de plus en plus importants.
     
    On peut rappeler que deux ans après Fukushima, le Japon veut redémarrer ses réacteurs nucléaires...
     
    Combien de Japonais vont mourir à la suite de cette catastrophe, combien d'enfants auront des problèmes de thyroïde ?
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  • Au cœur des technologies d’espionnage !!!


    Dans un monde aussi vaste, et abondant, la probabilité que vous soyez sous surveillance voire espionné peut atteindre les 70 %, notamment si on prend considérations les technologies développées à ce jour, et qui ont ravagé la plupart des services secrets au monde.

    Ainsi l’univers de l’espionnage a connu un essor considérable de plus d’un siècle, et cela à travers le Globe.

    Le début

    1-L’histoire débuta au lendemain de la première guerre mondiale où les principaux rivaux allemands et anglais s’affrontaient mutuellement pour déceler des codes secrets, par suite ils ont généré le fameux art de la cryptographie spécialité des Mathématiciens connus à cette époque, notamment celui de Arthur Sherbius qui a conçu la Machine Enigma qui a pour principe d’avoir trois roulettes rotatives qui permutaient les lettres plusieurs fois. Même si une puissance ennemie parvenait à voler une machine Enigma et à comprendre fonctionnement, elle ne pourrait déchiffrer les messages sans savoir séquence d'encodage choisie par l'opérateur de la machine. Grâce à ce système, il y avait environs 15 milliards de séquences d'encryptage possibles, le code émit par Enigma était donc incassable, du moins c’est ce qu’il pensait avant d’être surpris par leurs adversaires !!

    2- C’est en suite que va apparaître la NSA célèbre pour ses techniques avancées et approfondies en ce qui concerne l’espionnage, celle-ci va pleinement jouer son rôle consistant à intercepter minutieusement et de manière ciblée les transmissions soviétiques via des Satellites très performants. C’est le cas du programme Corona caché sous le nom de DISCOVERER, il était destiné à des fins Biomédicales, mais à vrai dire sa réelle mission était plutôt militaire, en effet c’était un satellite de reconnaissance optique, qui fit 17 révolutions autour de la terre durant 24 heures, du coup la capsule contenant le film fut automatiquement éjectée, et descendu lentement sous parachute.

    Certes vous penserez comme moi, à un vrai scenario Hollywoodien digne des films de science-fiction, en revanche cela témoignait de la seule et véritable réalité des techniques de Surveillance adopté à cette époque.

    3-Enfin c’est au début des années 90 que l’on constatera la montée des réseaux capteurs, des petits serveurs et des récepteurs d’énergie soigneusement coordonnées avec ce qui sera le « futur joujou » des services secrets, autrement dit l’Internet. Que dire donc ?!!

    Ces gadgets "connectés" seront capables de lire dans votre vie comme dans un livre ouvert et pourront même être commandés à distance.

    3-Récemment, l’agence Kaspersky géant de la sécurité informatique a scrupuleusement détecté un réseau large de cyber espionnage baptisée sous le nom de « RED OCTOBER » et qui cible les organisations gouvernementales, diplomatique, voire scientifique ! Leur méthode repose sur les logiciels courants comme Acrobat Reader d’Adobe ou Word et Excel de Microsoft. Une fois installé, le virus permet aux hackers de contrôler la machine infectée, même s’il est détecté et supprimé de l’ordinateur. Pour l’installer, les hackers ont utilisé les méthodes traditionnelles comme le phishing ciblé qui consiste à le dissimuler dans un fichier joint dans un mail.

    Facebook, twitter etc… sont-ils sous surveillance ??

    Effectivement, les récentes déclarations d’Edward Snowden (ancien agent de la NSA) affirmant par suite que cette dernière a largement intégrées le cercle des réseaux sociaux quitte à fouiner dans toutes les vies privées, en elle détient un programme d’équipement qui lui donnera à terme une capacité mémoire de 10 puissance 25 octets, soit l’équivalent de 10 milliards de disques durs, un par habitant futur de la planète.

    Une telle puissance n’a de sens qu’au service d’une ambition divine consistant à savoir tout ce qui se passe sur terre.
    -La quasi totalité des informations collectées n’a aucun intérêt d’aucune sorte, d’autant qu’elle ne devient utile, pour l’instant en tout cas, que lorsqu’elle produit une réaction dans un esprit humain. Il faut des moteurs de recherche d’une puissance prodigieuse pour en extraire des données ponctuelles significatives (identifier dans un milliard de sms, le message plus ou moins codé relatif à un acte de terrorisme par exemple) ou, grâce à des algorithmes, faire des synthèses permettant, par exemple, d’anticiper un basculement de majorité politique dans un pays.

    En tout cas les réseaux sociaux font le bonheur des espions car ils ont réalisé ce que un siècle d’essor technologique n’a pu réaliser.

    Tout le monde peut-être concerné... mais pas forcément ciblé 

    Il est évident que tout le monde n'est pas concerné tous les jours par les attaques ciblées, en revanche, les attaques opportunistes plus ou moins évoluées sont quotidiennes. Nous recevons tous du phishing, des spam ou des virus par mail ou autre. Ces d'attaques font partie du bruit ambiant sur internet mais contrairement à ce qu'on pourrait croire, si elles existent encore, c'est qu'elles fonctionnent toujours.

    Comment Stopper cette hémorragie ?

    Evidemment, en lisant cela on peut se sentir vulnérable, cela dit il y’a des solutions basiques pour arrêter ce déluge :

    1-Inculquer aux jeunes ces nouvelles méthodes pour pallier le manque de compétences

     2-Booster les moyens des agences et société à travers des technologies de l’information.

    3-Avoir un regard critique à l’égard des éditeurs d’antivirus, qui nous laisse sans bouclier lors d’une attaquer de haut niveau.

    4- Enfin bien choisir des mots de passe avant de se lancer dans des projets personnels.

    A .A

     
     
  • Yemen : La menace terroriste


    Yemen : La menace terroriste est une pure fabrication selon le diplomate français Gilles Gauthier
    Au sujet de la menace terroriste présentée par les États-Unis comme imminente au Yémen et des fermetures d’ambassades occidentales, M. Gilles Gauthier (*), ancien ambassadeur de France au Yémen, a déclaré sur les ondes de France Culture, que les dirigeants européens se sont couverts de ridicule.
    8 AOÛT 2013

    Gilles Gauthier 
     Au journaliste [1] qui demandait si les éléments qui ont permis aux États-Unis de faire état d’une menace imminente au Yémen étaient crédibles et si la fermeture des ambassades et l’évacuation des ressortissants américains ne servaient pas à justifier les écoutes généralisées dénoncées par Edward Snowden M. Gilles Gauthier a répondu :

    « Je voulais d’abord vous dire que j’ai beaucoup aimé votre présentation [2] parce que depuis quelques jours je suis ahuri par la présentation des évènements […] touchant le Yémen par la presse, par tous les médias.

    Effectivement on a un évènement totalement fabriqué ; une communication américaine qui devient un évènement […] et à ce moment là tout le monde commence à s’affoler [...]. Je crois qu’il y a un emballement ; c’est-à-dire que nos chancelleries à nous, nos dirigeants européens, sont pris dans le mouvement, ne savent plus trop ce qu’ils font et ils suivent et ils ferment eux aussi les ambassades […]. C’est un peu dérisoire tout ça…Je suis très content que votre radio, votre émission remette un peu les choses d’aplomb… ».

    […]

    « J’étais ambassadeur au Yémen jusqu’à il y a 3 ans ; et j’y suis retourné au mois de janvier [...] Il y avait eu un moment où le mouvement d’Al-Qaïda avait entièrement contrôlé une assez importante région proche d’Aden. Depuis, le président yéménite a réussi très intelligemment à la récupérer entièrement. On n’en a pas beaucoup parlé ; c’était un évènement positif. […] Les Américains avec leurs drones ne sont pas capables de faire ça. Cela a été fait en coopération avec le président et les tribus du sud. Du coup les gens d’Al-Qaïda se sont trouvés dispersés […] Donc effectivement il y a un danger de ce type … pour les Américains, mais ils sont en danger aussi à cause de leur politique… »

    À la question de savoir si la méthode des États-Unis – l’usage des drones pour combattre le terrorisme - n’est pas contreproductive et si on ne créé pas du terrorisme avec les drones, Obama étant sur la même ligne que George Bush junior, Gilles Gauthier a répondu :

    « Bien sûr, la politique des drones est une façon de fabriquer les terroristes […] Oui c’est dommage, c’est regrettable. Il (Obama) est totalement sur la même ligne ; il l’a même accentuée […] ; les États-Unis, un pays qui a des valeurs démocratiques, sont totalement en dehors de tout droit international ; l’usage des drones en dehors des situations de guerre […] les opérations de guerre sur un territoire étranger, sont une monstruosité. […] Le Yémen n’est pas les État-Unis ; ils n’ont aucun accord militaire officiel qui les autorise à faire cela ; ils sont dans un cadre tout à fait illégitime qui peut être qualifié d’opération terroriste […] ce sont des opérations qui n’entrent dans le cadre d’aucune légitimité internationale. »

    Silvia Cattori




     

    [1] Lors de l’émission « Les Matins d’été » de France Culture, du 8 août.

    [2] Nous avions nous aussi été agréablement surpris par l’honnêteté rare de la part du journaliste

     


  • Foutage de plomb ?


    Alerte anti-terro générale, fermeture des ambassades, mise en ordre de marche de mainstream …

    Seraient-ils en train de péter les plombs ?

    C'est étrangement le patron de l'armée himself qui ouvre le bal dans mainstream. Pourquoi lui d'ailleurs, et non les affaires étrangère ou la sécurité « domestique » ?

    On nous dit que l'alerte a été donner suite à des écoutes. Mais comment ces supposés terroristes, après des années de guerre clandestine, seraient-ils encore assez idiots pour se laisser intercepter ? Galéjade !

    Qui seraient d'ailleurs ces derniers sinon les héritiers de leurs alliés d'hier mis en place, recrutés, formés, et financés obligamment par des pays amis (ça continue d'ailleurs) pendant des années en Afghanistan contre les Soviétiques ? Et ne feraient-ils d'ailleurs pas partie de ces « rebelles » qui combattent en Syrie ?

    Ne voient-ils donc pas les incohérences et les incongruités de leur discours ?

    On nous parle de « guerre juste et d'autodéfense ».

    Mais qui peut bien avoir l'audace de menacer ceux qui, à eux seuls, détiennent pas moins de 50 % du budget mondiale en matière de défense, loin, très loin de ce qu'y consacre la Chine, la Russie et l'Inde réunies ?

    De plus qui attaque vraiment qui depuis des années et des années ?

    Et pourquoi maintenant ? Pour gâcher les légitimes vacances de millions de citoyens tranquilles ou parce que l'affaire syrienne et tout le Proche-orient ne tourne pas comme ils le souhaitent, ou que « la » monnaie est en train de s'écrouler, ou que … ou que ...

    Et quand bien même il y aurait de vraies attaques, comment ne pas penser qu'on ne ferait ainsi qu'alimenter l'ineffable machine à titiller les anti-conspirationistes ?

    Qui peut y croire vraiment sinon mainstream, dont on nous dit d'ailleurs, que paniqués, ils viennent de se rendre compte que personne ne l'écoute plus, qu'on le fiancerait à vide ?

    Toujours la même antienne, … « Bis répétita ne placet » auraient dits les anciens.

    Mais quand redeviendront-ils cette grande nation tant admirée ?

    Tiens, on me dit qu'on va se faire choper par les « grandes oreilles » informatiques !

     

  • Racistes, les amerloques?

    Trayvon Martin: quand le sweat à capuche devient symbole d’injustice raciste

    15/07/2013 | 18h10
    Des gens prient dans une église de New York le 14 juillet 2013 (Keith Bedford/Reuters)

    George Zimmerman, responsable du coup de feu qui a tué l’adolescent noir Trayvon Martin le 26 février 2012 à Sanford (Floride), a été acquitté dimanche. Des marches de protestation ont immédiatement été organisées aux quatre coins des États-Unis. Plusieurs participants avaient revêtu un sweat à capuche, rappelant celui que portait Trayvon Martin le soir de sa mort. Le « hoodie », symbole d’une injustice raciale ? Explications.

    Une étrange photo sépia représentant Martin Luther King en sweat à capuche est relayée à tour de bras sur les réseaux sociaux depuis l’acquittement de George Zimmerman dimanche soir. Américain d’origine hispanique, Zimmerman patrouillait régulièrement dans la banlieue de Sanford, en Floride. Le 26 février 2012 au soir, sa route croise celle de Trayvon Martin, lycéen américain noir, qu’il tue d’un coup de feu. Zimmerman affirme avoir agi en état de légitime défense, une thèse à laquelle adhèrent les six jurés qui l’ont fait acquitter. Un meurtre et un acquittement perçus par la communauté afro-américaine et bon nombre d’Américains comme racistes.

    lutherkinghoodie

    Le soir de sa mort, Trayvon Martin portait un sweat-shirt gris à capuche, qui, troué d’une balle, sera par la suite utilisé comme pièce à conviction dans le procès de Zimmerman. C’est un sweat de ce type, appelé « hoodie » en anglais, que porte Martin Luther King sur la photo qui fait le tour du Web après avoir été tweetée par Van Jones, défenseur des droits civiques et ancien conseiller d’Obama. Réalisée par Nikkolas Smith, illustrateur chez Disney, l’image est un photomontage, comme il nous le confirme par mail :  « Je l’ai réalisée sur Photoshop avec une vieille photo de Martin Luther King en costume-cravate et une photo plus récente de sweat à capuche. J’y ai ajouté des griffures et des filtres pour retrouver l’aspect photo des années 60. » Nikkolas Smith raconte l’avoir créée en 2012 à la suite de la mort de Trayvon Martin. « C’était un hommage au mouvement ‘hoodie’ et une façon de réclamer justice. »

    En dressant un parallèle entre ces deux Martin, deux hommes noirs tués par armes à feu, l’image s’inscrit dans la continuité du mouvement noir « I am Trayvon Martin », qui affirme que n’importe quelle autre personne noire aurait été tuée ce soir-là par Zimmerman, et donc que le meurtre de l’adolescent était un crime raciste. Depuis sa naissance en 2012, le mouvement « I am Trayvon Martin » se matérialise par le port de sweats à capuche, vêtement qui cristallise les clichés sur les jeunes délinquants. Le 23 mars 2012, Barack Obama prenait position en déclarant : « Si j’avais un fils, il ressemblerait à Trayvon Martin ». Cinq jours plus tard, le député démocrate Bobby Rush, ancien membre des Black Panthers, enlevait sa veste pour dévoiler un sweat, dont il revêtait la capuche, dans l’enceinte du Congrès, avant de se faire expulser pour outrage (le port de couvre-chef y est interdit).

    Le mouvement « hoodie » est aussi né en réaction aux propos de Geraldo Rivera, présentateur sur Fow News, qui avait lâché en mars 2012 :

    « J’invite les parents, particulièrement ceux des jeunes latinos et noirs, à ne pas laisser leurs enfants sortir vêtus d’un sweat-shirt à capuche. Je pense que ce vêtement est autant responsable de la mort de Trayvon Martin que George Zimmerman. (…) Je ne dis pas que Trayvon Martin avait une arme mais il portait un vêtement qui peut conduire quelqu’un à réagir de façon irrationnelle, trop zélée. Je pense qu’à moins qu’il ne pleuve ou que vous soyez à une rencontre d’athlétisme, laissez le sweat à capuche à la maison. Ne laissez pas vos enfants sortir avec. »

    Le mouvement « hoodie » a repris de l’ampleur depuis l’annonce de l’acquittement de George Zimmerman. Dans la continuité de la manifestation baptisée « Million Hoodie March » organisée à New York le 21 mars 2012, nombre de participants aux marches de protestation avaient revêtu, dimanche soir, un sweat, capuche rabattue sur la tête.

    Mais il n’y a pas que dans la rue que le « hoodie » a été adopté en signe de protestation. Plusieurs pasteurs afro-américains ont revêtu des sweats à capuches dans le cadre d’un « Hoodie Sunday », dimanche dernier. Le révérend Tony Lee de la Congrégation de l’Espoir, basée près de Washington, a raconté au Huffington Post avoir eu le déclic la veille en apprenant à la radio l’abandon des charges visant Zimmerman. Le révérend Mike McBride de l’Eglise The Way Christian Center (Californie), qui a aussi porté un « hoodie » dimanche , explique : « Nous envisageons de cibler la loi ‘Stand Your Ground’ [qui autorise le recours à une arme à feu en cas de légitime défense - ndlr] qui est largement utilisée contre les Afro-Américains. Nous devons parler de comment le système judiciaire continue de négliger les cadavres de personnes noires« .