La reconquête citoyenne
L’espoir fait vivre.
La crise semble interminable et aucune lueur d’optimisme nous est donnée pour penser qu’elle finira sous peu. La crise est systémique, inhérente au système, et ne pourra donc finir que mal…Dans toute chose malheur est bon dit-on, alors peut-être que cette crise sera le détonateur pour retourner aux vraies valeurs humaines qui importent à chacun d’entre nous.
La crise est inhumaine de par son ampleur dévastatrice et sa propension à frapper durement les plus pauvres, les plus modestes, les plus fragiles d’entre nous, alors qu’elle favorise outrancièrement les plus riches, les plus favorisés, les plus forts. Cette dichotomie sociétal nous mène droit à la rupture il ne peut en être autrement. Cette rupture peut avoir deux conséquences fortes et opposées: une guerre civile ou la construction d’une nouvelle société.
La guerre civile et plus largement une guerre mondiale, est la volonté de l’oligarchie dominante pour sceller la rupture sociétal. Les riches ne veulent plus assumer les pauvres, les pauvres ne peuvent plus encaisser les riches. Pour « libérer de la place » dans la pyramide sociale rien de tel qu’une bonne guerre. On remplacera par des humains d’importation, du bétail que l’on fera venir par routes mal famées d’Afrique et qu’on embarquera sur des embarcations de fortune à qui l’on demandera de railler la terre promise européenne. Remplacer une classe de pauvres mais ayant une certaine éducation entrainant une conscience claire de leur situation sociale dans la société, par une classe d’esclaves immigrés ne parlant parfois même pas la langue du pays d’accueil n’est que bénéfice pour cette classe oligarchique capitaliste et mondialiste. Elle a beau jeu de dénoncer le racisme lorsque les pauvres s’opposent à l’arrivée de vague migratoire incessante qui de plus ne s’intègre nullement, ou très peu, à la culture française.
Le réel bénéfice c’est que les esclaves sont prêts à tout pour survivre et savent se contenter de peu. Les pauvres, eux, aspirent au moins à la dignité et même cela on leur refuse. En mettant en contact les pauvres et les esclaves ont travaille à l’érosion du lien social indispensable dans une société humaine responsable. On crée les conditions du racisme nécessaire à la future guerre civile que l’on prépare avidement. Tout est fait pour diviser surtout que dans les mêmes temps on rogne sur les prestations sociales, on augmente la précarité salariale, on repousse le droit à la retraite, on fait des coupes dans le budget de la santé, on privatise les droits élémentaires,…bref on repousse toujours plus loin les conditions de l’indignité.
Les pauvres, qui au départ ne l’étaient pas toujours, pourraient avoir la haine facile contre ces esclaves mais quel bénéfice pour eux au final si ce n’est la lente descente aux enfers? C’est là le piège que nous tend notre oligarchie notamment à travers la stigmatisation de l’Islam qui est la religion majoritaire de ces nouveaux arrivants. Attiser la tension religieuse amène le soufre satanique. Bien sûr nous avons une identité culturelle et religieuse à défendre, ce sont nos racines, mais la montée de l’Islam en France n’est que la conséquence d’une volonté oligarchique. Plus il y aura d’immigrés islamiques, plus il y aura de tensions, plus les pauvres se taperont dessus entre eux, et moins ils s’occuperont des affaires de l’état, de LEUR état, de LEUR société.
Du moins c’est ce qu’ils espèrent! Mais l’âme humaine de ce XXI ème siècle reflète quand même le poids de l’histoire. On sait dans nos fibres culturelles ce que représente une révolte populaire avec les dégâts que cela entrainent. On sait que cela finit toujours mal pour celles et ceux qui en viennent aux armes car la force est TOUJOURS du côté de l’oligarchie car elle détient le nerf de la guerre: l’argent. Ce combat est donc perdu d’avance si on se décide à la suivre.
En fait le vrai chemin, la voie à suivre, est celui de reconstruire du lien social, une société humaine, sans eux. Avec des valeurs humaines simples et compréhensibles par tous: le respect, la dignité, les droits et les devoirs, … Cette société-là n’est pas une utopie elle est à notre portée et elle a d’ailleurs déjà commencée. Il existe des embryons de micro-société, d’entraides solidaires et citoyennes, qui fait qu’on pourrait avoir la possibilité de désamorcer les plans de guerre de l’oligarchie faute de combattants.
Si on décidait de faire tout l’inverse de ce à quoi elle nous prépare? Si au lieu de nous déchirer entre nous on commençait à créer des filières de solidarité ne serait-ce qu’avec notre entourage, notre famille, nos amis? Si on comprenait qu’il existe des choses beaucoup plus importantes que de se battre pour ce Dieu? Oui chacun de nous avons une théorie sur la vie, l’univers, Dieu mais cela vaut-il le coup de se battre pour l’imposer aux autres? C’est ce que l’on fait depuis que ce livre biblique a été écrit non? Et puis l’argent fait-il vraiment le bonheur? Est-ce l’essence même de la vie? Est-ce vraiment notre raison de vivre? Il y a matière en tout cas à profiter de « l’opportunité » de cette crise systémique pour construire une société véritablement humaine.
Un exemple de mouvement citoyen qui nait de la dureté des circonstances et qui commence à imposer sa « loi » aux autorités:
Mis en ligne par : News360x
Publié par : le citoyen engagé