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Violence - Page 4

  • LE PENTAGONE PRÉPARE UNE GUERRE MONDIALE !

     

    Par Sylvia Bourdon – 13/07/2015

    Le Pentagone a sorti en juin 2015, sa « Stratégie Militaire Nationale des Etats Unis d’Amérique 2015 » Lien ci-dessous. Le document annonce un changement dans ses objectifs ; du terrorisme au « acteurs d’États », qui « défieraient les normes internationales ».

    Il est important de savoir ce que ces mots signifient. Les gouvernements qui défient les normes internationales sont des pays souverains, qui appliquent des politiques indépendantes de Washington. Ces « États révisionnistes » sont des dangers. Non parce qu’ils projettent d’attaquer les US, ce qu’admet le Pentagone. Ni la Russie, ni la Chine n’ont ces intentions. Mais juste, parce qu’ils sont indépendants. En d’autres termes, « la norme », est la dépendance de Washington.

    Saisissez bien la question : Le danger est l’existence d’États souverains, dont les actions indépendantes, font d’eux les « États révisionnistes. » En d’autres mots, leur indépendance est hors des clous, selon la doctrine unipolaire néoconservatrice, qui déclare que le droit à l’indépendance revient seul à Washington. L’histoire de l’hégémonie de Washington écarte le fait, que tout autre pays peut être indépendant de ses actes. Le rapport du Pentagone définit avant tout comme « États révisionnistes », la Russie, la Chine, la Corée du Nord et l’Iran. L’objectif nr. 1 étant la Russie.

    Washington espère récupérer la Chine, afin qu’elle reste un marché de consommation américaine. Cela, malgré les « tensions dans la région Asie-Pacifique », qui est la sphère d’influence chinoise, laquelle serait « en contradiction avec les lois internationales ». Venant de Washington, le plus grand violeur des lois internationales, c’est plutôt fort de tabac.

    Il n’est pas sur que l’Iran échappe au destin que Washington a imposé à l’Irak, l’Afghanistan, la Lybie, la Syrie, la Somalie, le Yemen, le Pakistan, l’Ukraine et par complicité, la Palestine.

    Le rapport du Pentagone est suffisamment audacieux dans son hypocrisie, comme le sont toutes les déclarations de Washington, pour déclarer que, Washington et ses vassaux « soutiennent les institutions établies et les processus destinés à la prévention des conflits, qui respectent la souveraineté et les droits de l’homme ». Tout ceci, venant de l’armée d’un gouvernement qui a envahit, bombardé et renversé 11 gouvernements depuis le régime Clinton et qui projette de renverser les gouvernements d’Arménie, du Kyrgystan, de l’Equateur, du Vénezuela, de la Bolivie, du Brésil et de l’Argentine.

    Dans le document du Pentagone, la Russie est dans l’œil du cyclone, pour ne pas se conformer « aux normes internationales ». Ce qui signifie, que la Russie ne suit pas le leadership de Washington.

    En d’autres mots, ce rapport est de l’enfumage, rédigé par des néocons, dans le but de fomenter une guerre avec la Russie. Rien d’autre ne peut être dit sur ce rapport qui signifie la guerre, toujours la guerre. Sans guerres et conquêtes, les américains ne se sentent pas en sécurité. Les vues de Washington sur la Russie sont les mêmes que celles de Caton l’ancien sur Carthage. Il terminait chacun de ses discours au sénat romain en clamant : « Carthage doit être détruit. »

    Ce rapport nous dit, qu’une guerre avec la Russie sera notre futur, à moins que la Russie n’accepte de devenir un État vassal, comme l’Europe, le Canada, l’Australie, l’Ukraine et le Japon. Autrement, les néocons ont décidé qu’il serait impossible pour les américains, de tolérer un pays qui prend ses décisions indépendamment de Washington.

    Si les US ne peuvent être le pouvoir unique qui dicte ses normes au monde, mieux vaut tous crever.

     Sylvia Bourdon

    source Dr. Paul Craig Roberts

    Document: 2015 U.S. National Military Strategy – USNI News

    The following is the 2015 National Military Strategy of the United States of America that was released by the Department of Defense on July 1, 2015. Related

  • Affaire Ulcan

    Privilège communautaire dans l’affaire Ulcan

    Robert Faurisson et Alain Soral ne figurent pas dans la liste officielle des victimes...

     
         

     

    Ulcan est-il de retour ? Denis Sieffert, Pierre Haski et Daniel Schneidermann ont vu débarquer chez eux, entre mardi et jeudi, une armada de policiers alertée par les appels téléphoniques du hacker sioniste. L’affaire, largement relayée et commentée par les médias, fait silence sur les précédentes agressions concernant les familles d’Alain Soral et Robert Faurisson. Une question d’appartenance communautaire ?

    Le Monde, Mediapart, L’Express, Les Échos… autant de rédactions nationales qui, parmi bien d’autres, n’ont cessé de relayer sur la toile les mésaventures des trois dernières victimes de canulars téléphoniques attribués à Ulcan, le cybercriminel sioniste. Dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, Denis Sieffert, directeur de la publication de Politis, avait en effet été réveillé par la police et les locaux de son journal avaient été dévastés par l’intervention d’un autre groupe armé de la police. Dans le même temps, Pierre Haski, cofondateur du pure-player Rue 89, avait vu débarquer chez lui le SAMU, les pompiers et la police ; contrôle nocturne instillé par un canular similaire. Une agression groupée puisque la veille, le fondateur d’Arrêt sur images, Daniel Schneidermann, avait lui aussi été victime du même procédé.

    Après avoir offert une tribune aux trois journalistes, les médias semblaient avoir enfin pris le dossier Ulcan à bras le corps en dressant une liste malheureusement non-exhaustive des victimes du hacker franco-israélien. Ont été évoqués tour à tour les noms de Pierre Stambul, membre du bureau national de l’Union juive française pour la paix (UJFP), Stéphane Richard, PDG d’Orange, Jean-Claude Lefort, ex-président de l’association France-Palestine Solidarité, ou encore du journaliste de Rue 89, Benoit Le Corre, première victime réellement médiatisée (dont le père était décédé d’une attaque au cœur suite à un canular d’Ulcan). Pour autant, aucune mention n’a été faite des agressions téléphoniques subies par Hicham Hamza, fondateur du média indépendant Panamza, en février 2015, par Robert Faurisson en août 2014 ou par la famille d’Alain Soral en septembre 2014. Oubli involontaire ? Pas si sûr.

    Et pour cause, les dernières victimes du hacker font partie intégrante du système médiatique français et jouissent du suprême privilège d’être membres de la communauté qui y est la mieux représentée. Dès lors, leurs timides prises de positions pro-palestiniennes n’auront pas entamé l’engouement affiché de la caste médiatique à s’épancher sur les déboires de leurs confrères.

    Nommée « swatting », la technique de harcèlement téléphonique rappelle précisément le mode opératoire du hacker franco-israélien Grégory Chelli, alias « Ulcan », tristement célèbre pour ses agressions verbales malsaines auxquelles il a dédié un site web crée en 2011 (violvocal) et dont se gargarise un petit groupe de fanatiques.

    Réfugié à Ashdod (Israël), Ulcan jouit pour le moment d’une impunité effrayante, malgré les nombreuses plaintes déposées à son encontre. En l’absence de traité d’extradition entre la France et Israël, seule une prise en main virile et concertée du dossier dans les deux pays pourrait inquiéter le hacker. « Il est grand temps que le ministère de l’Intérieur s’exprime sur ces affaires », s’est d’ailleurs insurgé récemment Denis Sieffert dans les colonnes du journal Le Monde. Et le directeur de Politis de pointer du doigt « des complicités qui apparaissent de plus en plus évidentes ». Alors qu’Ulcan, ancien membre de la LDJ condamné en 2009 à quatre mois de prison avec sursis, sévit depuis déjà plusieurs années, le ministre de l’Intérieur a soudainement prêté une oreille attentive à ses dernières victimes. Bernard Cazeneuve recevra dans son bureau les trois journalistes dès mardi prochain. Aux dernières nouvelles, il semblerait que Robert Faurisson et la famille d’Alain Soral n’aient pas été conviés.

  • Vous avez parlé du "terrorisme" ?

    Aux États-Unis aussi, la définition médiatique du « terroriste » est à géométrie variable

    par FAIRle 25 juin 2015

    Si l’on trouve des « terroristes » et du « terrorisme » sous toutes les plumes journalistiques ou presque, en France, aux États-Unis et ailleurs, force est de constater que les grands médias appliquent trop souvent, dans ce domaine aussi, le « deux poids, deux mesures ». En effet, s’ils s’empressent de brandir le terme dans certains contextes et pour certains individus (plutôt « islamistes » ou, par défaut, « musulmans »), ils répugnent parfois à le faire alors même que tout semble indiquer qu’il se justifierait (les individus sont alors plutôt « occidentaux » ou, comme on le dit dans le monde anglophone, de type « caucasien »). À cet égard, le traitement du « cas Breivik » fut « exemplaire ».


    Le court texte qui suit, paru le 19 juin dernier sous le titre « Why Are persons Unknown More Likely to Be Called « Terrorist » Than a Known White Supremacist ? », sur le site de l’observatoire américain des médias Fair, revient sur ce travers journalistique. (Acrimed)

    Au lendemain d’un acte de violence de masse, un pays hébété se tourne généralement vers ses grands médias pour voir la façon dont ils présentent les évènements. Les termes utilisés par les journalistes dans les heures qui suivent un massacre contribuent à former l’opinion publique tout en ayant une influence majeure sur les réactions politiques.

    Lorsque deux bombes ont explosé le 15 avril 2013 lors du marathon de Boston, faisant trois morts et des centaines de blessés, cela a immanquablement fait les gros titres : une recherche effectuée le lendemain de l’attentat à partir d’une base de données regroupant les journaux américains indiquait que 2593 articles mentionnaient le marathon, tous ou presque relatant les explosions. Parmi ceux-ci, 887 (34%) eurent recours au terme « terrorisme » ou assimilé (« terroriste », sous sa forme adjectivale ou nominale) – bien que l’on ne connût les auteurs, et a fortiori leur motivation, que plusieurs jours plus tard.

    Lorsque neuf personnes ont été tuées le 17 juin dernier dans l’Eglise épiscopale méthodiste africaine Emanuel, 367 articles ont paru le lendemain qui mentionnaient « Charleston » et « l’église », selon la même base de données ; un important fait d’actualité, certes, mais loin du traitement hors norme des attentats du marathon de Boston. Et parmi ces 367 articles, seuls 24 (7%) parlaient de « terrorisme » ou de « terroriste », bien que d’emblée, Dylan Roof, suspect n°1, fût identifié, tout comme furent exposées les preuves selon lesquelles il était mu par une idéologie suprémaciste blanche ainsi que le désir de « déclencher une guerre civile » (selon le journal local de Caroline du Sud The State).

    D’après certains, on a tellement usé et abusé du terme « terrorisme » que l’on ferait mieux de s’en passer. Reste que la violence motivée politiquement ciblant des civils – invariant de toutes les définitions du « terrorisme » – est un phénomène bien réel qu’il est difficile de ne pas nommer.

    Si les médias veulent utiliser ce terme, néanmoins, ils doivent le faire sans recourir au « deux poids, deux mesures ». En l’appliquant à des attaques dont les auteurs n’étaient alors pas encore identifiés, tout en refusant, dans la plupart des cas, de l’utiliser pour qualifier un massacre attribué à un blanc suprémaciste souhaitant déclencher une guerre raciale, ils ont échoué.

    Jim Naureckas

    (Traduit par Thibault Roques)

  • L’incendie de Baltimore a sorti l’Amérique de sa torpeur

    Pourquoi Baltimore prend feu ?

    Publié le 20 mai 2015 dans Amérique du Nord
     
     
     

    L’élection d’un Président Noir n’a pas résolu le « problème Noir ».

    Par Guy Sorman.

    Norman Rockwell Mosaic credits Shannon (CC BY-NC-ND 2.0)

    Le 28 avril dernier, les quartiers Noirs de Baltimore furent ravagés par des émeutes telles que les États-Unis n’en avaient pas connues depuis l’été 1992 à Los Angeles. Le point de départ d’une nuit de destructions perpétrées par des adolescents afro-américains fut la mort inexpliquée d’un voyou, Freddie Gray, brutalisé par la police. L’incendie de Baltimore, précédé les mois antérieurs par des émeutes comparables dans la banlieue de Saint-Louis et à New York, a sorti l’Amérique de sa torpeur : l’élection d’un Président Noir n’a pas résolu le « problème Noir ». Barack Obama lui-même semble avoir été surpris : en six ans de présidence, il n’avait jamais abordé cette question de front, considérant sans doute que son parcours exemplaire suffirait à inspirer tous les Noirs. En vain.

    Barack Obama et son épouse Michelle témoignent en fait de la réussite et des inconvénients d’une politique volontariste de sélection des élites Noires, dite « affirmative action ». À partir des années 1970, à l’initiative de juges activistes, les administrations publiques nationales et locales telles que la police ou les pompiers, les entreprises travaillant pour l’État, les collèges et universités, ont été contraintes de recruter des quotas d’Afro-Américains et d’autres minorités (les Indiens, « Native Americans » par exemple) de manière à refléter la « diversité » de la nation. « L’affirmative action » a été un succès en ce qu’elle a détourné les élites afro-américaines de la tentation de la révolution – dominante dans les années 1960 – les intégrant dans les hautes sphères de la vie publique. La réussite de ces élites, dont les Obama sont le fleuron, a aussi désamorcé le racisme en illustrant combien les Afro-Américains étaient aussi aptes que les Blancs à occuper les plus hautes responsabilités. Mais cette politique a concentré les élites afro-américaines dans des fonctions publiques plutôt que dans le monde de l’entreprise : or, aux États-Unis, l’entreprise est plus respectée que le service de l’État. Autre inconvénient de « l’affirmative action » : un Noir qui « réussit » aux États-Unis quitte le quartier de ses origines et cesse d’être un modèle pour ses congénères. Ne restent dans les quartiers Noirs que les plus défavorisés, environ les deux tiers des quarante millions de Noirs américains. Pourquoi ceux-ci, adolescents, passent-ils plus de temps dans la rue qu’à l’école, pourquoi les mères sont-elles plus souvent célibataires que mariées, pourquoi la moitié des jeunes Noirs de Baltimore ou de Saint-Louis sont-ils chômeurs, pourquoi se reconnaissent-ils dans la culture des gangs, pourquoi constituent-ils à la fois la majorité des criminels, des auteurs et victimes de crimes et, par conséquent, la majorité des prisonniers ? À Baltimore, ville à majorité noire, un homme afro-américain sur deux, à vingt-cinq ans, est passé par la prison.

    Freddie Gray, victime de mauvais traitements, se trouvait entre les mains de policiers Noirs, dans une ville dont le maire est une femme Noire ; le procureur qui a inculpé les policiers est aussi une jeune femme Noire. Baltimore symbolise à la fois la réussite des élites Noires en politique – conséquence de « l’affirmative action » – et l’enfermement de tous les autres dans une culture de la violence. Sociologues et économistes américains ne cessent de s’interroger sur cette permanence d’une culture de ghettos, dont les Noirs sont acteurs et victimes. Seraient-ils victimes du racisme des Blancs ? L’accusation ne tient plus quand le maire, le chef de la police et le procureur de Baltimore sont Noirs. De nombreux analystes incriminent l’absence du père dans ces familles pauvres et violentes : mais cette absence est une conséquence de la culture du ghetto, pas la cause. Plus probablement, la culture du ghetto et les comportements qu’elle engendre sont-ils la conséquence du ghetto lui-même. Le seul fait de concentrer une population à risques en un lieu renforce les traits les plus négatifs de cette population : à Baltimore, le modèle que les jeunes Noirs ont sous les yeux est le chef de gang, pas Barack Obama. Le seul type de famille que les jeunes du ghetto connaissent est une famille sans père. Preuve a contrario : des cartes de populations publiées après les émeutes de Baltimore montrent que le destin d’un jeune Afro-Américain aux États-Unis est essentiellement dicté par la géographie. S’il naît et grandit dans un quartier où les Noirs sont peu nombreux, ses chances de réussite scolaire, familiale et professionnelle sont identiques à celles de n’importe quel autre Américain. Le problème Noir américain n’est pas une conséquence du racisme ou un trait culturel immuable mais une affaire de logement. Tous les gouvernements américains, depuis un demi-siècle, ont favorisé le logement « social », ce qui a généré une géographie de la pauvreté. Paradoxe : le logement social reproduit involontairement la ségrégation de jadis, particulièrement à Baltimore où Noirs et Blancs, jadis, n’avaient pas le droit de vivre dans les mêmes quartiers. Cette erreur fatale a été reproduite en Europe où les immigrés les plus récents sont regroupés dans des habitats « sociaux » : leurs enfants y créent spontanément une culture du ghetto, mimétique de la culture noire américaine, avec les mêmes conséquences désastreuses.

    Ce problème noir américain est devenu un problème européen : les « Noirs » d’Europe ne sont pas forcément Noirs, ils sont plus souvent d’origine arabe, mais leur nombre s’accroît avec l’afflux des réfugiés. Il est grand temps, ou peut-être trop tard, pour empêcher que l’Europe soit parsemée de « Baltimore ».

     

     

  • VU DES ÉTATS-UNIS


    Stop djihadisme : méfiez-vous des gens qui ne mangent pas de baguette

    Changer d'alimentation ou arrêter le sport peuvent être des signes de radicalisation : tel est le message délivré par le site du gouvernement français de prévention de la menace terroriste. Pas sûr que cela aide à combattre "l’apartheid" dénoncé par Valls, selon ce site américain.
    • 3 FÉVRIER 2015
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           Des baguettes - Nic McPhee/Flickr/CC
    Le site américain Quartz a réagi avec ironie au lancement par le gouvernement français, le 28 janvier dernier, d’un site internet dédié à la prévention du djihadisme auprès du grand public, notamment en apprenant à décrypter les vidéos de propagande qui foisonnent sur la Toile, mais aussi les signes avant-coureurs d'un processus de radicalisation.

    "Si vous vivez en France et que vous ne mangez pas de baguette, il y a des chances pour que vous soyez un terroriste", lance Quartz en titre de son article illustré par une photo de djihadistes dont la légende rappelle qu’"ils ne mangent pas de foie gras non plus"...



    Ségrégation

    "Dans un pays qui interdit de recenser les citoyens selon leurs origines, leurs races ou leurs religions – le dernier recensement religieux a eu lieu en 1872 – beaucoup ont un sens profond de ce qu’‘être français’ veut dire alors que l’affiche en ligne sur le site ne se prive pas de désigner ce qui peut être considéré comme un comportement ‘non-français’.

    Le Premier ministre a déclaré qu’il voulait en finir avec la ségrégation. Mais de telles affiches enverront sûrement un message très différent aux jeunes musulmans : si tu ne te conformes pas à certains usages, tu deviens une menace potentielle", s’inquiète Quartz.