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  • Intellectuels

    Intellectuels

     
    Par ordre alphabétique:
     
    *Pierre Bourdieu (Sociologue)
     
     
    Voir Bourdieu :
     
     

    *Noam Chomsky (Linguiste)


    Voir Chomsky :

    Conférence de Noam Chomsky avec Serge Halimi et Daniel Mermet
    Noam Chomsky sur la mondialisation
    - Documentaire : La Fabrication du Consentement 
    Pouvoir et Terreur
    L'auto défense intellectuelle
    Les États-Unis et Israël
    Pour en finir avec le capitalisme
    Faurisson & Liberté d'expression
    Entretien avec Noam Chomsky sur Algérie-Focus.Com
    Conférence Compréhension et Interprétation : au delà du langage au Collège de France
    - Conférence L'aveuglement est un frein à la soif de Pouvoir au Collège de France
    - Noam Chomsky chez Taddéi
    Noam Chomsky Vs Michel Foucault
    - Noam Chomsky : Pirates et empereurs

    Lire Chomsky :
     

    - La fabrication du consentement : De la propagande médiatique en démocratie
    - Le profit avant l'homme
    - La doctrine des bonnes intentions


    *Michel Foucault (Philosophe)
     
     
     
     
    Écouter Foucault:

     
    Lire Foucault:

  • LE DANGER DES FEMMES VOILEES

     

    Posté par 2ccr le 30 novembre 2012

     

    LE DANGER DES FEMMES VOILEES dans Humour et Derision voile-300x224Hier, j’ai eu un choc, en traversant mon village : un groupe de femmes voilées se rendait à l’église. Elles sont parmi nous ! Elles sont partout !

    Pire, certaines d’entre elles ont une voiture : il est pourtant indéniable que la tenue ample de ces femmes constitue une gêne à la conduite automobile. La cornette restreint le champ de vision, et la robe peut s’emmêler dans les pédales.

    Ces femmes vivent recluses, en communauté. Elles ne sont pas intégrées à la vie réelle, et ne contribuent pas à la Croissance. Ce sont des assistées, des parasites. Si on a pu être charitable avec elles dans les périodes fastes, dans la crise que nous vivons actuellement, c’est indécent.

    Elles ont constellé le territoire de milliers de minarets, qu’elles appellent “clochers”, mais cela ne trompe personne : impossible en effet de contrôler les prêches enflammés de leurs imams (qu’elles appellent “prêtres”) contre la République qui y sont assénés quotidiennement. Ne négligeons pas le trouble à l’ordre public engendré par les cloches qui sonnent sept jours sur sept, jour et nuit, tous les quarts d’heures.

    Bien sûr, lorsqu’elles sont confrontées à des citoyens ordinaires, elles donnent le change et parlent français. Mais ne doutez pas que sitôt revenues à l’abri de leurs hauts murs moussus, elles n’utilisent plus que leur langue maternelle : le latin. D’ailleurs, pourquoi se réfugieraient-elle derrière une enceinte aussi dissuasive si elles n’avaient rien à cacher ? Hein ? Tout le monde a entendu parler des exorcismes qui font partie de leur culture. Mais surtout, on frémit en imaginant les orgies saphiques qui s’y déroulent immanquablement.

    Quant aux imams qui les endoctrinent dans les églises et les maintiennent au moyen-âge, nombre d’entre eux ont encore récemment été mêlés à de sombres affaires de pédophilie. Au vu de leur faible nombre comparé à celui des femmes de la communauté, il plane de surcroît un fort soupçon de polygamie. Avoir des maîtresses n’est certes pas répréhensible, mais là on dépasse clairement les bornes de la décence.

    N’oublions pas que ce sont les mêmes qui ont caché pendant des décennies des criminels de guerre nazis à l’abri de leurs hauts murs. Et tout cela se passe en France, au XXIème siècle. Devons-nous le tolérer ? La tradition hospitalière de la France s’arrête lorsque son intégrité est en danger. C’est une véritable invasion, on ne peut pas accueillir toute la religion du monde !

    Enfin, en cette période de crise, ne négligeons pas l’aspect financier ! Car ces gens nous coûtent cher, évidemment. Les bâtiments qui les hébergent, et surtout les lieux où ils pratiquent leur culte, sont en mauvais état. Et dès qu’il faut y faire des réparations, ils font appel aux fonds publics. C’est inadmissible. Pire, en Alsace et en Moselle, en contravention totale avec la loi de 1905, ils font carrément rémunérer leurs imams par l’Etat, dont la faillite est pourtant notoire. A cause d’eux, les agences de notation risquent de dégrader notre dette, nous contraignant à emprunter à un taux plus élevé, et nous plaçant sous la menace d’une spéculation ourdie par Goldman Sachs. On voit clairement le lien avec les forces de l’Etranger.

    Prosélytisme ostentatoire, insécurité routière, paysages défigurés, nuisances sonores, mœurs mystérieuses et dissolues, menace financière et géopolitique : la coupe est pleine ! Je propose de prendre des mesures urgentes et draconiennes pour empêcher le développement de ce phénomène inquiétant : interdiction du port ostentatoire de leurs tenues, déchéance de la nationalité française, réquisition de leurs bâtiments pour les transformer en logements sociaux, assèchement de leurs finances par l’application stricte de la loi de 1905.

    L’heure n’est plus à mégoter, nous ne pouvons plus faire l’économie de charters vers le Vatican. La pérennité de la République est à ce prix.

    D’aprés  SUPERNO

  • PAUL VACCA ET LES BANKSTERS

     

    Posté par 2ccr le 6 décembre 2012

    PAUL VACCA ET LES BANKSTERS dans Personnages vacca-300x186« Haut les mains ! »Au début du rêve américain était le hold-up, cette faculté d’arracher des mains le bien d’autrui… Dans un essai original, Paul Vacca, amateur de film noir, braque les projecteurs sur l’origine du capitalisme, et illustre, à sa manière, un dialogue entre un parrain et son fils : « Petit, tu ne braqueras plus les banques, tu en créeras une ! »

    Il y a peu de chose commune, hormis l’appât du gain, entre les dilettantes du Colt 45, Bonny Parker, Clyde Barrow, Dillinger, et les as de la finance qui organisent, aujourd’hui, à temps plein, au travers d’algorithmes, expropriations, guerres et famines. Dans la vie, tout oppose les deux figures, bankster et « casseur » : l’origine sociale, l’éducation, les moyens et la durée de l’entreprise.

    Tel un pilote de drone, à l’encontre du braqueur, le bankster n’a aucun contact physique avec les victimes, et agit sur ordre. En pianotant sur son clavier, le filou provoque un maximum de dégâts économiques pour une montagne de fric virtuel, en quelques jeux d’écriture ou de savantes combinaisons posées comme des mines à retardement sur les flux financiers ; sa finalité est de blanchir l’argent en même temps qu’il dévalise des populations entières. Voici deux exemples donnés par Paul Vacca :

    a)      Le casse des subprimes. En 2007, une « association de malfaiteurs » composée de banques, d’assureurs, d’investisseurs et d’agences de notation mettent au point une chaîne de crédits subprimes à base de titrisation… Des millions de foyers américains cèdent aux sirènes des annonceurs et achètent des titres pourris pour rembourser leurs dettes ; résultat : plus d’un million de propriétaires perdent leur maison que les aigrefins rachètent à vils prix. Le butin est évalué à plusieurs milliards de dollars !

    b)      Le plan Paulson. Le 3 octobre 2008, un accord est signé entre les banquiers du secteur privé et le secrétaire du trésor américain, Henry Paulson, un ancien dirigeant de Goldman Sachs, sur le dos des contribuables ; ces derniers sont contraints, au nom d’un chimérique projet de sauvetage, de racheter les emprunts toxiques des banques américaines. Les observateurs estiment, à cette occasion, que chaque américain est rançonné de 3 500 dollars !

    c)      Butin amassé par la bande dite des « déréglementeurs » : plus de 700 milliards de dollars !

    Comparativement, Ronald Biggs et Albert Spaggiari (fameux gangsters historiques) sont des hommes du Néanderthal, fascinés par la couleur verte des billets. Certes, le voyou à l’ancienne et le bankster sont animés tous deux d’une même injonction : « enrichis-toi ! ». Mais le point de ressemblance s’arrête-là… L’un est dans la brutalité immédiate des choses : secouer un employé et ouvrir un coffre-fort ; l’autre dans l’infini et l’immatérialité du pouvoir : gouverner la Planète. Les affaires sont choses trop sérieuses, aujourd’hui, pour les laisser aux mains du Milieu.

    Avec les hold-up financiers, l’on assiste à une inversion totale de polarité. En l’espèce, ce n’est plus un citoyen qui braque une banque, mais la banque qui braque l’ensemble des citoyens. Et, alors que le hold-up traditionnel était illégal, et pouvait être à certains égards (et c’est ainsi que le présente le cinéma) légitime, le hold-up des financiers en est la parfaite image inversée. Totalement légal (puisque ce sont les acteurs du système financier qui édictent leurs propres règles sous le regard approbateur de l’Etat) mais illégitime, car les seuls à en payer le prix sont les citoyens. Si le braqueur à l’ancienne était hors la loi, les braqueurs de la finance sont confortablement installés au-dessus des lois. Cyniques et iniques, favorisant leur caste, les banques se comportent en Robin des Bois à rebours : elles volent les pauvres pour donner aux riches. »

    Lisez Paul Vacca « La Société du hold-up », et vous aurez envie de cogner très fort sur votre banquier ! … ou de bâtir votre propre banque.

    D’aprés HIMALOVE

  • PRODUIRE EN FRANCE,… UNE MORT PROGRAMMEE

     

    Posté par 2ccr le 7 décembre 2012

    PRODUIRE EN FRANCE,... UNE MORT PROGRAMMEE dans Economie et crise mort-300x224La désindustrialisation de la France, amorcée dès les années 1970, s’est accélérée après les accords Mitterrand-Kohl de 1984, socialistes et libéraux main dans la main, et la mise en route de l’Acte Unique Européen préfigurant le traité de Maastricht et l’Euro. Il s’agissait pour les grands monopoles capitalistes, hier comme aujourd’hui, de formater plus fermement l’Europe dont ils ont besoin pour écraser les peuples et maximiser leurs profits. Capitaux Français et allemands se partagent alors explicitement les tâches et les profits : industrie mécanique pour l’Allemagne, tourisme et agriculture pour la France dans le cadre d’une Politique Agricole Commune remaniée.

    La litanie des secteurs industriels et des populations régionales sacrifiés s’allonge en France : textile, charbonnages, sidérurgie, construction navale… etbientôt tout le secteur machine-outil avec en particulier le puissant secteur Renault liquidé en quelques mois.

    Le capital monopoliste ayant déserté pour des secteurs et des pays plus rentables, arrivèrent les fonds de pension spécialisés dans le démantèlement industriel, s’emparant de la technologie de nombreux secteurs de pointe pour partir s’installer ailleurs dès la rapine faite, notamment dans les pays de l’ancienne Europe de l’est.

    La sidérurgie, dont tout pays ambitionnant un avenir industriel ne peut se passer, a été définitivement affaiblie, et il est clair que lorsque l’État a bradé ce qu’il en restait à Mittal, c’était avec l’objectif qu’il finisse le boulot d’extermination de la filière. On voit où on en est aujourd’hui avec le gouvernement socialiste qui se couche dès que Parisot hausse la voix…

    Parallèlement, c’est la filière auto qui est en cause au nom d’une rentabilité jugée insuffisante par le capital monopoliste : il a été décidé qu’en 2020 plus aucune unité de montage ne devait être présente sur notre sol. Et pour faire le sale boulot, pas besoin de faire appel à des fond de pension : la casse s’organise de l’intérieur avec la nomination de directions de combat chez Renault et Peugeot, l’arrivée de Carlos Ghosn se situant dans ce schéma.

    C’est pourquoi les mobilisations chez Renault, Peugeot, Florange et toutes les entreprises menacées doivent être appuyées par la mise en avant, auprès des travailleurs et de la population dans son ensemble, des idées qui ont fait la force du mouvement ouvrier : l’enjeu est national et la lutte doit être nationale. Le capital qui dirige la vie économique, sociale, politique de notre pays est incapable d’œuvrer pour l’intérêt collectif : avec ses serviteurs politiques et médiatiques, il œuvre et manœuvre pour son strict intérêt de classe, pour ses privilèges et profits immenses ; il n’a aucun état d’âme à rayer des usines d’un trait de plume, à réduire des milliers de travailleurs au chômage, à planifier froidement l’affaiblissement(comment expliquer que les stocks de véhicules Renault en attente de retouche sur les parcs soient considérables et que dans le même temps il faille des mois pour obtenir une Renault, alors que les marques étrangères notamment Volkswagen livrent en quelque jours ?), puis la disparition de secteurs entiers, vouant des régions au recul à et à la misère

    Les grands capitalistes sont incapables d’assurer le développement du pays et le bien-être de la population. Le sauvetage de l’industrie, et au-delà le développement du pays, passe par l’expropriation des capitalistes : c’est aux travailleurs, c’est au peuple de décider souverainement de ce qui est produit, où, dans quelle conditions. Cette revendication ancienne du mouvement ouvrier, reprise par le programme du Conseil National de la Résistance, est plus que jamais d’actualité. Contre les féodalités financières, contre leurs lois favorables aux grands capitalistes, contre leurs institutions, Union européenne en tête, destinées à priver les peuples de leurs droits, c’est aux ouvriers, aux employés, aux techniciens, aux intellectuels, c’est au peuple travailleur qu’il revient d’imposer la souveraineté populaire et le développement dans l’intérêt du plus grand nombre.

    Déclaration du Front syndical de Classe

  • Homo-consommatus

     

    LE 05 DÉCEMBRE, 2012 DANS DÉMOCRATIE / PROPAGANDE PAR

     
    Homo-consommatus

    Le projet est désormais accompli. Nous assistons à la naissance d’une espèce nouvelle, l’avènement de l’homme post-contemporain, j’ai nommé l’homo-consommatus.

    Les transports en commun vous rappellent nécessairement la marche du monde et de ses effets sur vos pairs. Un voyage en train, dans le bus ou en RER nous ont rendu à peine supportable la présence de nos semblables, on piétine, d’autres râlent, on se bouscule, quand on ne regarde pas ses pompes…

    C’est la société marchande qui conditionne tout d’abord cette animosité quotidienne, celle-là même qui définit nos existences d’esclave nouvelle génération. L’hégémonie dusalariat dans des mégalopoles et la division scientifique du travail dépouille l’individu de son temps et du fruit de son labeur, mais aussi tue dans l’œuf tout tissu social par le fatal maintien des hiérarchies de dominance. Ajoutons qu’il paie des titres de transport de plus en plus onéreux pour suivre cette délocalisation forcée.

    Nous voilà faits comme de vulgaires rats de laboratoire.

    Difficile désormais de s’unir contre la dictature des marchés. Les lapses de temps passés du bercail au bureau pourraient pourtant être l’occasion d’échanger sur la cause de nos grises mines et de nos visages fantomatiques.
    Nous vivons à l’ère du totalitarisme marchand, celui qui sous couverture a colonisé chaque parcelle de nos existences pour nous transformer en entités contrôlables via la société de consommation.

    Avec le fordisme les productions augmentèrent de façon exponentielle. Il fallu alors fabriquer la demande.

    Ainsi le liberal-fascisme a investi chaque parcelle de nos existences prétextant le progrès. Tous les sens doivent être occupés, les yeux rivés sur son smartphone, un paquet de chips cancérigènes dans une main, les écouteurs vissés sur les oreilles. Isolé par l’illusion de l’abondance l’homo-consommatus en oublie bientôt qu’il est seul. Sa solitude est désormais masquée, saturée par les fuites en avant technologiques ; méthode de surcroît entretenue par l’illusion des réseaux sociauxScience sans conscience n’est que ruine de l’âme disait l’autre…

    L’homo-consommatus ne mange plus, il ingurgite. Sur le pouce, parce que le temps c’est de l’argent. Prêt en une minute chrono, avalée en autant de temps, la bouffe est aujourd’hui essentiellement faite de conglomérats en tout genre, chimiquement trafiqués pour nous donner l’illusion du vrai…

    Le temps libre est désormais tout entier voué aux loisirs. La propagande publicitaire et la télévision en sont les vecteurs, les foules rêvent alors un moment leur vie sur papier glacé, ravalent leur amertume et travaillent de plus belle. En attendant, ils se tiennent tranquilles.

    Il faut donc gagner de l’argent et se vendre, autrement dit perdre sa vie en la gagnant.

    Bienvenue alors dans l’ère de la norme esclave, celle de l’uniformisation totale, du formatage des désirs, del’unisexe, de la transformation d’êtres conscientisés en êtres pulsionnels… Difficile d’échapper au siphon du Dieu contemporain, de l’objet roi, celui chatoyant qui nous crie « possède moi ! » et tu seras. La publicité et le marketing en sont les armes, savamment orchestrés par des experts qui sondent impunément l’inconscient collectif pour mieux vous réduire en automate, où tous vos faits et gestes auront été pensés, étudiés, quantifiés… pour toujours optimiser cettesacro-sainte consommation.