Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Aquilino, Mediapart et le Crif...

Aquilino Morelle, Mediapart et le Crif : la connexion surprise

INFO PANAMZA. Le journaliste à l’origine de la démission d’Aquilino Morelle est proche d’une organisation dans laquelle siège l’ennemi juré de l’ex-conseiller de François Hollande : le Conseil représentatif des institutions juives de France. Décryptage.

L’effet politique de son scoop ne manquera pas d’égayer son anniversaire célébré ce soir [vendredi 18 avril] : Michaël Hajdenberg, journaliste à Mediapart qui fête aujourd’hui ses 36 ans, peut pavoiser. Son article publié hier a déjà provoqué la démission de l’homme auquel il s’est attaqué et qu’il va jusqu’à qualifier d’« imposteur » sur Twitter.

 

 

En mettant en lumière un conflit d’intérêts dans le parcours antérieur d’Aquilino Morelle, à la fois juge et partie auprès d’un laboratoire pharmaceutique, Michaël Hajdenberg (par ailleurs directeur général de la société des salariés de Mediapart) a déclenché la chute du conseiller politique du chef de l’État. En déplacement en province, François Hollande a confié ce matin à Manuel Valls le soin de convoquer son adjoint discrédité afin de lui faire acter sa démission.

 

 

Un autre jeune homme peut aujourd’hui célébrer, non son anniversaire mais sa victoire : Paul Bernard.

 

 

Ce normalien était, jusqu’en décembre, la plume de François Hollande « sous l’autorité » d’Aquilino Morelle. Contrairement à plusieurs tandems d’écriture des discours présidentiels, le duo Morelle-Bernard était réputé inefficace en raison des relations exécrables qu’entretenaient les deux hommes. Avant son départ, compensé par une nomination par décret présidentiel – le 31 janvier –au Conseil d’État, Paul Bernard avait même été rattaché à la directrice de cabinet de François Hollande afin de ne plus être sous la coupe sévère de Morelle.

Particularité de l’homme aujourd’hui probablement satisfait par la démission déshonorante de son ancien tuteur : Paul Bernard, adhérent choyé du Mouvement juif libéral de France et ex-conseillerdu PDG ultra-sioniste de Publicis, est également membre – depuis 2011 – du comité directeur du Crif.

Lire la suite de l’article sur panamza.com

 

Les commentaires sont fermés.