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La théorie du genre : menace universelle

 

La peste idéologique du “gender” gangrène l’Occident et bientôt le monde tout entier

samedi 8 février 2014

Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer la gangrène du gender ne touche pas que l’Hexagone. Ce mal atteint touche toute l’Europe. Il vient d’Amérique du Nord, États-Unis et Canada, grandes colonies messianiques judéo-protestantes. Au demeurant il n’est pas destiné à rester confiné dans la sphère occidentaliste. Déjà la Démocrate Hillary Clinton tançait sévèrement les États africains qui se montraient réticents à libéraliser ou à banaliser les comportements sexuellement déviants. En un mot la gangrène du messianisme pansexualiste n’est pas un problème lié à la seul décadence, ou plutôt à la dégénérescence, de l’Occident et particulièrement de l’Europe postchrétienne, elle ronge maintenant la planète tout entière… À l’exception pour l’instant de la Russie et de la Chine, peut-être encore quelque peu immunisées par leur proche passé de glaciation marxiste-léniniste 1.

Il est essentiel, si l’on veut espérer curer le mal et en extirper les racines, d’en connaître les origines et les finalités. À côté de la foule de ceux qui communient dans la religion du progrès, les esprits forts et les modernistes ne croyant qu’en la raison et la science triomphantes, œuvre l’omnipotent anarcholibéralisme. Celui-ci gouverne la vie des nations, des peuples et des hommes. Il a depuis longtemps rompu les amarre avec l’éthique protestante que Max Weber avait nommé « l’esprit du capitalisme ». Le temps où Guizot lançait son « Enrichissez-vous ! », sous entendu “par le labeur, dans la probité et l’intégrité morale”, est bien révolu. Or ce Moloch hypercapitaliste rêve d’une humanité uniformisée toute asservie à la marchandise, au sexe et à l’argent. Un vil bétail humain soumis à des lois noachiques 2 réinterprétées au service d’un matérialisme athéiste derrière lequel se dissimule un dieu caché. Une hideuse idole punissant de mort - au moins de mort sociale - quiconque ne se soumet pas à ses lois négatrices de la civilisation et du genre humain…

L’État à travers la Dass ne menace-t-il pas en France de retirer leurs enfants à ceux qui refusent ou refuseraient le formatage idéologique de l’École publique ? À cet effet un projet de loi d’essence totalitaire a été déposé au bureau de l’Assemblée le 18 décembre dernier qui visant à interdire l’enseignement à domicile. La sénatrice socialiste Laurence Rossignol n’a-t-elle pas déclaré en substance que « les enfants n’appartiennent pas aux parents, mais à l’État » [France2/5avril2013] ? Très récemment Mme Najat Belkacem n’annonçait-elle pas de son côté qu’elle s’employait à faire retirer une part fiscale aux familles dont un seul membre travaillerait ? La libération des femmes par le travail – Arbeit mit frei - en quelque sorte ! Ce qui par contrecoup devrait contraindre à la scolarisation précoce des enfants et à les retirer à l’emprise délétère de mères de famille nécessairement arriérées. Allez hop au travail, l’État s’occupe de vos enfants… scientifiquement !

Qu’est-ce au juste que cette « théorie du genre » ?

Mais qu’est-ce au juste que cette “théorie du genre” ? Selon Drieu Godefredi 3«  la théorie du genre soutient que la notion de sexe est culturelle de part en part. Que la distinction des sexes est sans ancrage biologique, donc arbitraire et modulable. Qu’en outre, le modèle hétérosexuel exerce une violence littéralement innommable sur les modèles sexuels et les genres alternatifs. Qu’il est donc temps, et légitime, de “défaire le genre”, pour reprendre le titre de l’un des ouvrages de la prêtresse contemporaine du genre, Judith Butler 4 , en éradiquant toute référence au masculin et au féminin, deux genres parmi une sarabande infinie de variations possibles… trans, queer, drag, butch, garou, dyke, fem, and so and » !

Ça c’est pour la théorie. Dans la pratique, les mouvements LGBT [lesbiennes/gays/bi et transsexuels] ont transcrit le concept – en vérité la pressante l’injonction - d’éradiquer le binôme homme/femme pour le faire éclater en une multitude de possibles, de choix en fonction du caprice de l’instant, de l’humeur ou des circonstances. Le “sexe” masculin et féminin ne serait au fond qu’un vêtement échangeable ou interchangeable. L’idéal du caméléon, du nomade existentiel, bref du détraqué que la société s’efforce de promouvoir et produire en masse dès le plus jeune âge… Ce noble projet a finalement pour but de révéler au genre humain les extensibles potentialité d’une nature qui était jusqu’ici un leurre : l’homme n’était pas ce qu’il croyait être. Grâce au progrès des sciences humaines, aux lobbies LGBT et à MM. Hollande et Ayrault, hérauts de la modernité, nous savons maintenant ce qu’il en est. Merci à eux.

Bref, les Associations représentant les minorités sexuelles s’étant mises en cheville avec l’Éducation nationale, elles furent chargées de mettre en musique les grands principes républicains d’Égalité de tous et de tout, et pour ce faire d’élaborer et de rédiger les programmes scolaires ad hoc. À partir de là nous retrouvons institutionnalisés les délires les plus scabreux. Ainsi la Ligne Azur « service aux parents, enseignants, éducateurs » citée par Vincent Peillon dans sa lettre du 4 janvier aux recteurs, fournit-elle des outils “pédagogiques”, lesquels doivent guider les enseignants dans leur rude parcours didacticiel ! S’adressant aux préadolescents en les faisant s’interroger par exemple sur leurs “pratiques sexuelles”. Au choix : « masturbation, pénétration buccale, anale, vaginale, autre, aucune ».

Menace globale

Au fond, ces gens ne font qu’appliquer les préconisations de l’Organisation mondiale de la Santé [OMS] Bureau régional pour l’Europe, contenues dans un rapport intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » qui en sa page 38 vante les bienfaits de la masturbation pour les tout petits. On trouvait jusqu’à il y a peu ce document officiel en ligne [fichier pdf] mais il a apparemment été supprimé des serveurs. Reste quelques uns ont pu le consulter et découvrir avec stupeur qu’entre zéro à quatre ans, il est temps d’apprendre la « masturbation enfantine » afin de laisser l’enfant exprimer « ses besoins, ses désirs et ses limites » sexuels. Cela par exemple en « jouant au docteur ». Certes nous disent les experts des Nations Unis « ce programme se confrontera à une résistance fondée sur des peurs et des préjugés » [bvoltaire.fr16déc13]. Ceci confirmant s’il en était besoin que le mal vient de haut et constitue une menace globale. Celle en l’occurrence de cette gouvernance mondiale qui ne dit pas encore son nom, celle qui hier, à l’automne 2010, voulait obliger les Européens à se faire massivement vacciner contre le virus grippal H1N1 avec des produits comportant de sérieux risques pour la santé humaine. Dormez braves gens vous êtes en de bonnes mains.

Mais quoi d’extraordinaire à tout cela ? Faut-il avoir les yeux couverts d’écailles pour ne pas voir que ce qui nous choque aujourd’hui lorsqu’il s’agit de l’enseignement dumauvais genre à nos progénitures, nous l’avons laissé s’installer tranquillement des années durant… au nom de la tolérance, du “progrès”, de la Liberté individuelle 5érigée en fétiche barbare des temps modernes, de l’Égalité, autre coquecigrue. Le pathologique est ainsi devenu peu à peu la nouvelle normalité. Et ce qui était hier la normalité depuis que le monde est monde, est désormais proscrite. Et cela va très loin. Le train est lancé… pourtant certains virages comportent des risques de déraillement. La colère monte, encore faudra-t-il prendre la mesure des choses et comprendre que le combat à mener n’est ni national, ni européen, mais planétaire.

Cela a commencé en douceur toujours au nom des Grands principes

Sans faire de bruit les Association LGBT se sont donc vues, de facto, confier la tâche de mettre en musique – mais sans tapage – leur programme pansexualiste issus de ces « cerveaux malades » que stigmatisaient en mars 2013 le présentateur de France Inter Patrick Cohen [France5/12mars13] sous couvert d’égalité homme/femme et de plus de justice dans les rapports entre les sexes. En fait la théorie du genre – quin’existe pas – est un fil rouge qui coure à travers les grandes dispositions légales prises ces dernières années par les droites et les gauches confondues.

Cela a commencé en douceur, petit bout par petit bout, pièce à pièce, avec avortement pour convenance personnelle, le pacs [pacte civil de solidarité] puis le mariage inverti, le bannissement de code civil des références père/mère et, en continuité, requalification des classes maternelles qui ne doivent plus renvoyer au rôle spécifique de la femme ; idem en ce qui concerne la désignation asexuée des “parents” pour arriver en fin de parcours à l’endoctrinement à l’interchangeabilité sexuelle… au motif d’éducation des enfants contre la violence de genre. Au passage notons qu’autrefois les enfants et les individus bien élevés n’étaient pas particulièrement enclins à la violence intersexuelle. Mais c’était avant. Avant que l’émancipation – enfin ce qu’on nomme tel - des femmes. Lesquelles n’ont jamais été autant molestées qu’aujourd’hui et dans toutes les strates sociales. C’était aussi avant que la Ligne Azur vantée par M. Peillon, n’enrichissent le vocabulaire des gamins et gamines avec toute la panoplie des pratiques sado-masochistes. 6

Finalement, le “Jour de Colère” – Dies irae – du 26 janvier dernier et les dizaines voire la centaine de milliers de marcheurs déterminés en dépit de la pluie battante, ont commencés à faire réfléchir les illuminés du gouvernement plus préoccupés de changement “sociétaux” que de redressement économique. La peur venait momentanément de changer de camp. On apprenait coup sur coup que les autorités renonçaient à envisager – pour le moment - la légalisation relative à la procréation médicalement assistée [PMA] et au-delà, à la gestation pour autrui [GPA]. Ce 3 février, c’est la totalité du projet de loi sur la Famille – dénomination par antiphrase – qui était purement et simplement abandonné. Une défaite en rase campagne.

La gangrène progresse inexorablement et à bas bruit

Malgré tout ne nous faisons aucune illusion. Ces gens sont tenaces. Il y a quatre décennies, l’intelligentsia cosmo-germanopratine pétitionnait à jet continu en faveur de la dépénalisation de la pédophilie 7. En Belgique l’affaire Dutroux les fit regagner l’ombre dont ils n’auraient jamais dû sortir. Hélas quarante ans après l’on découvre avec effroi que les mêmes sont en passe d’avoir gain de cause. Caché, le fleuve aux eaux putrides n’avait cessé de couler. Pour cela accusons nos élites de trahison. Des usurpateurs qui nous ont mené par le bout du museau avec des paroles engageantes et d’innombrables fausses promesses. Mais la faute véritable en incombe d’abord à ceux qui les ont écouté, qui n’ont rien vu ou voulu voir venir, qui ont tout gobé et qui par veulerie s’en sont remis, pour conduire leur destinée, à une caste de menteurs et de sociopathes.

Il faut tendre l’oreille pour entendre aujourd’hui le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé qui ne souffle mot alors que la polémique sur l’enseignement du “genre” fait rage dans les médias serfs. Sur ce thème décernons un oscar à la chaine télévisuelle BFM, exemplaire avec sa journalière séance vespérale d’hystérie. Le même personnage, M. Copé d’origines algérienne et bessarabienne [wiki] avait pourtant soutenu sans réserve en août 2011 les 80 députés qui réclamaient le retrait de manuels scolaires de la théorie du genre, jugeant que ceux-ci « posent de vraies questions » [20minutes.fr31août11]. Le député UMP de la Drôme Hervé Mariton déclarait pour sa part que « la théorie du genre n’a pas sa place dans un manuel scolaire ». Las, le même jour, le ministre UMP de l’Éducation nationale, Luc Chatel envoyait une fin de non recevoir aux 80 députés UMP réclamant le retrait d’un manuel de Sciences de la vie et de la Terre [SVT] dont ils contestaient un chapitre sur l’identité sexuelle c’est-à-dire précisément consacré à la théorie du genre… laquelle n’existe pas ! Depuis les quatre-vingt députés sont rentrés dans leur trou. Il n’y en avait en effet plus guère ce dimanche 2 février 2014 à défiler avec ceusses de la « Manif pour tous ».

UMP/PS une collusion très objective

Par sa réponse dilatoire, arguant qu’il n’avait pas à connaître du contenu des dits manuels, le libéral Luc Chatel apportait derechef - une collusion objective - de l’eau au moulin de dame Belkacem. Celle-ci, Secrétaire nationale du Parti socialiste auxquestions de société et porte-parole de Mme Ségolène Royal, avait expliqué aux parlementaires frondeurs, avec toute la sévérité dont est capable sa petite personne, qu’ils sont a priori interdits d’ingérence dans la rédaction des manuels scolaires. Se mêler de ce qui ne les regarde pas étant une attitude « inacceptable sur la forme comme sur le fond ».

À certaines exceptions près cependant… « parce que les députés n’ont pas à écrire les programmes, sauf s’il s’agit de théories qui touchent aux valeurs de la nation, telles que la condamnation du négationnisme ou a contrario les lois mémorielles » [ibid]. Dont acte ! La sexualité précoce et ses perversions multiples et variées à venir qui lui sont potentiellement associées, ne “touche pas aux valeurs de la nation » ! Et la donzelle d’ajouter, se contredisant sans ciller : « Le politique n’a pas à écrire l’histoire ou à expliquer la science, il doit changer la société ». Sans doute ne se rend-t-elle pas compte de ce qu’elle dit… Au fond certains de ces gens sont persuadés gérer les “vrais problèmes” du temps présent… lesquels n’ont évidemment rien à voir avec le chômage galopant, les usines qui ferment et délocalisent, la fiscalité écrasante, l’absence d’avenir prévisible. Nihil novi sub sole, à la fin du XIXe siècles, républicains, radicaux et socialistes consacraient déjà l’essentiel de leurs forces à détruire l’Église et les congrégations, pendant ce temps le prolétariat soufrait et s’insurgeait 8. À présent c’est au tour de la famille, ultime cellule, dernier bastion de la société organique.

Le genre, urgence sociétale absolue pour une “société du respect”

L’urgence sociétale, elle, ne saurait attendre : « le vrai problème de société que nous devons régler aujourd’hui, c’est l’homophobie, et notamment les agressions homophobes qui se développent en milieu scolaire. L’école doit redevenir un sanctuaire, et la prévention de la délinquance homophobe doit commencer dès le plus jeune âge. Un jeune homosexuel sur cinq a déjà été victime d’une agression physique, et près d’un sur deux a déjà été insulté. Il est essentiel d’enseigner aux enfants le respect des différentes formes d’identité sexuelle, afin de bâtir une société du respect » [Najat Benkacem ibidem].

Une « société du respect », c’est également ce que veulent, sans pourtant oser le dire trop ouvertement, ces UMP qui au départ, à chaque tentative d’imposer le “gender” à l’école, s’étranglaient d’indignation, allant jusqu’à exiger une commission d’enquête parlementaire « afin que toute la lumière soit faite » [Xavier Breton] sur l’influence sur la société française de la cette pseudo théorie. Au final, ce sont les mêmes, lorsqu’ils étaient encore au gouvernement, qui signaient le 11 mai 2011 la Convention d’Istanbul [acte du Conseil de l’Europe] imposant « l’éradication de toute pratique fondée sur un rôle stéréotypé des femmes et des hommes ». Autre faux nez ou vestibule pour les études de genre… Car comment expliquer les violences entre les sexes si ce n’est par cette théorie à prétention “scientifique” en vogue sur le marché des idées ?

Après le marxisme, le freudisme, l’internationale pansexualiste

L’Allemagne a autorisé la mention « sexe indéterminé » sur les certificats de naissance dès le 1er novembre 2013 et punit de quarante jours d’incarcération quiconque retire son ou ses enfants de l’école en guise de protestation contre l’enseignement de la pornographie à l’école [french.ruvr.ru22janv14]. M. Peillon ne lésine pas non plus : toute absence indue – ses yeux – sera sanctionnée de 750 € d’amende. Au Népal, depuis le mois de juin, un « troisième genre » doit figurer sur les passeports à l’instar des documents officiels australiens. En Thaïlande, pays où le tourisme sexuel est une quasi industrie, le phénomène se développe à vitesse grand V. Nombre de vedettes locales du showbiz sont en réalité des hommes transformés en femmes. De jeunes garçons qui acquièrent via Internet des hormones féminines à l’âge de la puberté afin d’inhiber leur développement masculin naturel. La Suan Dusit Rajabhat University de Bangkok se serait faite à ce propos une spécialité d’accueillir des étudiants transgenres, les “ladyboys“ autorisés à porter l’uniforme féminin dans l’enceinte universitaire, et cet établissement d’enseignement supérieur organise d’ailleurs, son propre concours de beauté transsexuel. Mais nul n’évoque, oh grand jamais, les opérations manquées, les mutilations qui en résulte, la drogue, la prostitution et pour finir le suicide prévalant au sein de ces populations qui paye au prix fort le triste privilège d’avoir été “reine d’un jour et de quelques nuits” [medias-presse.info9oct13]. Après tout Science Po Paris, du temps du regretté Didier Decoin, organisait du 3 au 6 mai 2010 sa première “Queer week” 9 « entièrement consacrés aux questions de genres, d’identités et de sexualités ». Sexualités au pluriel. Par conséquent, avant de se gausser de ces pauvres Thaï, regardons ce qui se passe près de chez nous [yagg.com30avril10]

Pour ne pas conclure… le combat continue

En fait la majorité socialiste, qui se préoccupe bien plus de déconstruire l’humain que de restaurer la bonne santé économique, fait passer la théorie du genre à petits pas, chaque jour que Dieu fait, morceau par morceau, à travers un ensemble de dispositifs juridiques et de lois qui font sens mises bout à bout… cela tout en niant mordicus leur projet, ses objectifs et en accusant ceux qui jettent une lumière crue sur leurs menées détestables d’être des tenants du « négationnisme » ! Mais qui sont les vrais négationnistes ? Qui nie effrontément, avec un cynisme inouï, la réalité de l’enseignement du genre ?

Il s’agit maintenant de démissionner ces menteurs s’ils ne s’y résolvent pas spontanément. Après Cahuzac, la coupe est pleine. On a vu la virulence de ces gens dans la négation des faits et l’invective, accusant, insultant, menaçant à la Chambre des députés et dans les lucarnes, ne parlant, contre toute évidence, que de « rumeur ». Ce système, leur système est devenu fou et ses acteurs se sont montrés à découvert. Bas les masques. À ce titre le Premier ministre et son gouvernement doivent partir et la chambre doit être dissoute. Exigeons des législatives.

Léon Camus 3 février 2014

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